Le blog du N°1 de la bâche de piscine sur internet
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Quelque soit la couverture de piscine, de la bâche à bulles à la couverture sécurité ou de la bâche à barres à la couverture hiver piscine, tous les accessoires: enrouleurs bache été, manivelle bache 4 saisons, pitons , sandows, sangles, fixations pour toutes les couvertures piscine; mais aussi tous les produits d’entretien piscine, de la chimie hth (chlore, ph, brome, désinfectant, nettoyant piscine) aux accessoires (brosse, balai, testeurs, robots…).
Œillets plastique pour bache a bull piscinenon bordée: simples à poser, discretset pratiques.
Chez baches-piscines.com, la bache a bull piscine non bordée est proposée. Même si vous choisissez cette version économique, c’est à dire en finition brute de coupe, nous vous fournissons un kit. Donc vous aurez avec votre couverture, une bachette de protection, des sandows pour la fixer. Mais aussi des œillets à clipper afin de relayer les attaches à l’enrouleur piscine.
Ces œillets en plastique se fixent d’une manière très simple. Il faut d’abord, avec la pointe d’un ciseau faire un trou en forme d’étoile dans votre bache a bull piscine. Vous mettez ensuite une partie de l’œillet au-dessus et l’autre partie en-dessous. Vous clipser (un œillet mâle et un œillet femelle), c’est fait! Pour que cela tienne bien, avec un maillet, vous tapez doucement dessus ou vous servir d’une simple pince pour bien joindre les 2 parties.
Œillet pour bâche.
Ces œillets sont utiles également les personnes qui ont retaillé leurs bâches à bulles non bordée afin que cette dernière soit à la forme de leur piscine. Ainsi elles peuvent la stocker sur l’enrouleur. Ils font 12mm de diamètre.
Pourquoi choisir la bache a bull piscine non bordée?
Pour conclure, la combinaison entre les œillets à clipser et la bâche à bulles non bordée est un bon compromis peu onéreux. Une bâche à bulles pas chers pour une forme de piscine difficile à tracer. Vous pouvez donc avoir une bâche moins cher mais choisir une qualité de performance solaire supérieure. Effectivement, une bâche à bulles non bordée peut-être vendue autant en bleu 400 microns, en bleu/Alu ou noire, ainsi qu’en version transparente Geobubble sol+guard 500 microns.
Vous avez également des œillets à clipser de diamètre 20mm conçus pour les bâches d’hiver ou les banderoles en PVC. Ainsi vous ajustez votre bâche sur place et aux endroits où vous voulez l’attacher.
Construire sa piscine, c’est un peu comme monter un meuble IKEA. Sur le papier, ça a l’air simple. En vrai, ça peut vite virer au drame domestique. Mais pour ceux qui ont l’âme d’un bricoleur et l’envie d’économiser quelques billets, la question mérite d’être posée : est-ce vraiment faisable ? Spoiler : ça dépend.
Choisir la bonne piscine : le premier pas vers la réussite
Toutes les piscines ne se prêtent pas au DIY. Certaines sont aussi complexes à monter qu’une fusée SpaceX, d’autres relèvent plus du jeu de construction. Petit tour d’horizon :
Piscines en fibre de verre : la solution la plus accessible. Un bassin préfabriqué, une fosse creusée, un peu d’huilé de coude et hop, ça nage.
Piscines en vinyl : un bon compromis entre prix et technicité. Attention au liner, fragile comme une feuille de papier.
Piscines hors-sol : c’est le choix des malins. Peu de travaux, montage rapide, parfait pour les adeptes du moindre effort.
Piscines en béton projeté : à moins d’avoir fait l’ENA du maçonnage, ça sent l’accident industriel. Déconseillé.
Avez-vous le niveau pour construire votre piscine ?
Soyons honnêtes : si vous galérez à monter une étagère droite, ce projet risque de se terminer en étang. Un minimum de compétences est requis :
Savoir manier des outils sans finir aux urgences.
Lire des plans techniques sans pleurer.
Avoir quelques notions en plomberie et électricité (histoire de ne pas transformer votre piscine en jacuzzi électrique).
Connaitre la réglementation et les démarches administratives (le permis de construire, c’est pas qu’un papier à encadrer).
Les étapes clés du projet
Si vous êtes encore motivé, voici les grandes étapes :
1. La préparation (ou comment éviter de creuser chez le voisin)
Choisir le bon emplacement.
Vérifier la nature du sol (parce qu’une piscine qui s’affaisse, ça fait mauvais genre).
Obtenir les autorisations nécessaires.
2. L’excavation (l’étape qui fait le plus transpirer)
Louer une pelleteuse ou appeler un pro (parce que creuser à la main, c’est pour les fous).
Vérifier le nivellement, au millimètre près.
3. L’installation (ou l’art de suivre une notice)
Positionner le bassin (et ne pas se tromper de côté).
Raccorder les circuits d’eau et d’électricité.
Remblayer avec soin (sinon, c’est la catastrophe annoncée).
4. La mise en service (le moment de vérité)
Remplissage, tests d’étanchéité.
Ajustement des produits chimiques.
Premiers ploufs (en espérant que tout tienne).
Les erreurs à éviter absolument
Construire sa piscine, c’est bien. Le faire sans erreurs, c’est mieux. Parmi les pièges classiques :
Un nivellement approximatif (résultat : une piscine en pente, effet toboggan gratuit).
Des raccords mal faits (bonjour les fuites et les factures d’eau XXL).
Oublier la sécurité électrique (personne ne veut se transformer en anguille).
Ne pas lire les clauses de garantie (parce que “c’est pas couvert”).
Est-ce que ça vaut le coup ?
Construire sa piscine soi-même, c’est économiser 30 à 50 % sur le budget. Mais attention aux faux frais : location d’engins, corrections d’erreurs, matériaux supplémentaires.
Côté immobilier, une piscine bien faite booste la valeur d’une maison. Une piscine bricolée, c’est une négociation à la baisse assurée.
Verdict : on fonce ou pas ?
Si vous êtes un bricoleur averti, patient et bien entouré, construire sa piscine est une belle aventure. Pour les autres, mieux vaut faire appel à un pro et éviter de transformer son jardin en chantier éternel.
Bref, c’est comme cuisiner un bœuf Wellington : en théorie, ça a l’air faisable. En pratique, il vaut mieux s’assurer qu’on a le niveau avant de se lancer.
Les déformations de votre bâche à bulles vous sautent aux yeux. Vous pensiez recevoir une couverture parfaite… et voilà qu’elle fait des vagues. Des plis dans les angles, une bâche qui rebique, qui flotte au lieu de se plaquer : ce scénario n’a rien d’exceptionnel. Il résulte d’un phénomène connu, prévisible, et surtout évitable. Voici tout ce qu’il faut savoir — avant ou après apparition des signes.
La matière en question : le polyéthylène, souple mais sensible
Le comportement naturel derrière les déformations d’une bâche à bulles
Les bâches à bulles sont fabriquées en polyéthylène, un matériau souple… et thermosensible. Par nature, il réagit :
à la température (de l’eau, de l’air, de la surface),
à la pression atmosphérique,
aux produits chimiques du traitement de l’eau.
Résultat : la bâche se dilate ou se contracte selon les conditions, et ce jusqu’à ±2 %. Si votre couverture mesure 8 mètres, elle peut s’allonger ou se rétracter de plus de 15 cm — sans que cela soit un vice de fabrication.
👉 Cette tolérance est d’ailleurs encadrée depuis longtemps par la norme NFT 54-105 (remplacée aujourd’hui par la norme NF EN ISO 11501) qui définit les variations dimensionnelles des films plastiques après chauffage.
Une mémoire de forme bien réelle
Quand une bâche à bulles prend un coup de chaud, elle se déforme. Et même si les températures redescendent, le polyéthylène garde cette forme altérée pendant un certain temps.
Pas de retour immédiat à la normale : la matière peut mettre plusieurs jours, voire plusieurs semaines à retrouver sa planéité initiale.
La rigidité des bordures : coupable idéal des plis
Quand la finition bloque la dilatation
Une bâche à bulles bordée sur 4 côtés est renforcée par un ourlet cousu en polyéthylène armé. Ce cadre rigide bloque les mouvements naturels du cœur de la bâche. Quand il fait chaud, la bâche se dilate… mais la bordure, elle, reste inextensible. Résultat : tensions, plis, bosses, coins qui rebiquent.
Bordure 2 côtés ou 4 côtés : un choix stratégique
Pour une piscine rectangulaire, mieux vaut une bordure sur les largeurs uniquement. Les longueurs peuvent ainsi bouger librement.
Pour les bassins en forme libre (haricot, ovale…), la bordure périphérique reste plus adaptée, car elle assure une meilleure tenue sur les contours irréguliers.
👉 Si l’on insiste autant sur ce point — dans les notices, fiches techniques, ou même en vidéo — c’est parce que la finition joue un rôle clé dans la stabilité de la bâche. Un détail qui n’en est pas un.
Dernier recours : retirer une bordure latérale
Une bâche à bulles trop tendue ? Si les longueurs sont bordées, retirez la bordure pour lui redonner de la souplesse. C’est la meilleure solution à explorer, mais ce n’est pas magique.
Pour ce faire, il faut :
Relever délicatement l’ourlet cousu,
Glisser un cutter sous la couture,
Couper le fil sur toute la longueur.
⚠️ Mais attention : le retour à plat ne sera pas immédiat. Il faudra du temps pour que la bâche détendue épouse de nouveau la surface de l’eau.
Usage inadapté : le piège des fortes chaleurs
En été, on veut que l’eau chauffe vite. On laisse donc la bâche — surtout les modèles solaires comme la Cristal Sol+Guard — en plein soleil, même quand l’eau est déjà à 30°C. Erreur. À partir de 28°C, il est conseillé de retirer la bâche. Sinon, vous créez une double chambre chaude (entre l’eau et l’air) qui fait littéralement “cuire” le polyéthylène.
Ce type de déformation de votre bâche de piscine n’a rien d’une anomalie : c’est un signal d’alerte.
Produits de traitement : de l’allié à l’ennemi, il n’y a qu’un dosage
Ce n’est pas que la chaleur. Une bâche à bulles déformée peut aussi accuser le coup… de trop de chlore. Ou de pH en roue libre. Si la matière bouge, ce n’est pas toujours la faute du soleil. Les produits chimiques jouent aussi leur rôle — discret, mais redoutablement efficace.
Comment les traitements altèrent le polyéthylène
Le polyéthylène reste stable, mais pas invincible. Une bâche à bulles posée sur une eau surtraitée encaisse, jour après jour. Et à la longue :
Le chlore et les oxydants (brome, ozone, oxygène actif) grignotent la souplesse du matériau,
Les zones fines ou soudées deviennent plus sensibles aux tensions,
Le film plastique perd en élasticité… et se déforme plus vite.
C’est un phénomène lent, insidieux, mais bien réel. Il n’existe pas de seuil critique officiel, mais un usage quotidien dans une eau déséquilibrée accélère le vieillissement.
Chaleur + chimie : un cocktail risqué pour votre bâche
Quand il fait chaud, on pense à retirer la bâche. Parfois. Mais on oublie que le traitement de l’eau agit aussi, surtout :
après un traitement choc (chlore en granulés, javel, etc.),
ou quand le pH est trop bas (<7), ce qui renforce l’agressivité du chlore.
Poser une bâche juste après un dosage musclé revient à l’immerger dans une soupe corrosive. Et si l’eau dépasse 28°C, c’est le combo parfait : chaleur + chimie + contact prolongé = problèmes garantis.
Même si les déformations de la bâche à bulles ne se voient pas tout de suite, le polyéthylène garde la mémoire. Il pliera plus facilement, gondolera plus vite, et perdra son aplomb plus tôt.
Le stockage à nu : un geste fatal
Hors bassin, une bâche doit impérativement être protégée par une bachette. Et pas n’importe laquelle : une version réfléchissante, si possible.
Pourquoi ? Parce que sans eau pour absorber la chaleur, le polyéthylène s’échauffe vite. Cela provoque :
des déformations localisées,
un relâchement de la matière,
une altération de la couleur ou des soudures.
Et une bâche de piscine déformée par mauvais stockage aura du mal à se remettre en forme, même en usage normal.
La bachette réfléchissante : accessoire ? Non, essentiel.
La bachette de protection n’est pas un gadget. C’est l’assurance vie de votre bâche à bulles. Surtout en version réfléchissante, qui repousse les rayons solaires, limite l’échauffement et préserve la structure du film.
Un seul réflexe — couvrir sa bâche après usage — permet d’éviter 80 % des déformations précoces.
En résumé
Les déformations de bâche à bulles ne sont ni liées à un défaut, ni des cas isolés. Elle vous parle. Elle vous montre que la chaleur a trop monté, que vous avez mis trop de produits chimiques dans l’eau, ou qu’elle a trop traîné au soleil.
Comprendre sa matière, choisir une finition adaptée, l’utiliser avec bon sens et la protéger hors de l’eau : c’est tout ce qu’il faut pour lui redonner calme et aplomb. Et si elle a déjà fait des vagues, vous savez désormais comment les calmer.
Une bâche à bulles, c’est pas compliqué. Un peu de bon sens et de rigueur. Aussi, la notice d’utilisation de mord pas et vous permettra à coup sûr d’y gagner.
FAQ : Déformations bâche à bulles – elle gondole, rebique ou fait des plis.
Pourquoi ma bâche à bulles gondole dans les coins ? Souvent à cause d’une dilatation naturelle du polyéthylène bloquée par une bordure rigide.
Est-ce normal que ma bâche à bulles fasse des plis ? Oui. Une déformation de bâche de piscine est normale sous certaines conditions de chaleur ou d’usage.
Ma bâche à bulles est bordée sur les 4 côtés, est-ce un problème ? Notamment sur un bassin rectangulaire, oui. Cela freine les mouvements naturels et favorise les plis. Mieux vaut une bordure sur les largeurs uniquement.
Comment réparer une bâche à bulles qui rebique ? En coupant délicatement la couture sur les longueurs. Cela redonne de la souplesse, mais le résultat est progressif.
Pourquoi ma bâche est plus déformée après une canicule ? La chaleur excessive provoque une dilatation intense. À partir de 28°C, il faut retirer la bâche pour éviter les dégâts.
Faut-il toujours utiliser une bachette de protection ? Oui. Toujours hors de l’eau. Et surtout une version réfléchissante, pour limiter la chauffe, avec ou sans enrouleur.
Une bâche à bulles qui fait des plis est-elle moins efficace ? Oui. Une bâche mal plaquée laisse passer l’air, ce qui diminue son pouvoir isolant et thermique.
Les déformations sont-elles couvertes par la garantie ? Non. Une bâche à bulles de piscine déformée par dilatation thermique ne relève pas du SAV. C’est un phénomène naturel.
La ligne d’eau, c’est la frontière entre l’eau claire et les traces qui s’invitent. Crèmes solaires, pollution, calcaire : tout s’y accroche. Pour nettoyer la ligne d’eau de votre piscine efficacement, sans abîmer ni agresser, le gant microfibre XPRO s’impose donc comme la solution maligne et musclée… mais toute en douceur.
L’efficacité au bout des doigts
Ce gant, c’est le coup de chiffon qui change tout. Conçu spécialement pour les surfaces délicates — liner, coque polyester, skimmer ou projecteur — En effet, il combine l’absorption XXL de la microfibre à une prise en main intuitive. Par conséquent, pas besoin de frotter comme un forcené : un simple passage suffit pour décoller les saletés incrustées.
La microfibre ultra-absorbante capte les résidus gras, les impuretés et les traces laissées par les produits solaires. Et comme il est réutilisable à volonté, un rinçage à l’eau claire ou un tour en machine suffit donc pour le remettre en service. Durable, simple, efficace.
Nettoyer ligne d’eau piscine : dites adieu à la corvée
Fini les éponges qui s’effilochent, les produits agressifs ou les accessoires bancals. Le gant XPRO transforme ainsi la corvée en routine express. Une pression du gant, un geste fluide… et la ligne d’eau retrouve sa netteté. Sans éclaboussures. Sans bavures.
Sa polyvalence fait aussi mouche : il s’utilise sur toutes les zones de contact avec l’air — là où les impuretés s’accumulent. Résultat : une piscine propre, sans efforts inutiles.
Le détail qui change tout
Ce n’est peut-être “qu’un gant”. Mais dans le rituel d’entretien, c’est un grand changement. Un petit accessoire, pour un grand effet. En un passage, il efface les marques du quotidien et redonne à votre bassin tout son éclat.
Un geste simple, précis et sans produits agressifs pour une ligne d’eau toujours impeccable.
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Un liner de piscine, c’est un peu comme une paire de baskets : on veut qu’il dure, mais on le malmène à longueur de journée. Et pourtant, avec quelques astuces simples, vous pouvez le garder en bon état bien plus longtemps que la moyenne. On vous explique comment éviter les fuites, les plis disgracieux et la couleur délavée qui donne à votre piscine un air de photo des années 80.
Choisissez le bon liner de piscine dès le départ
Tout commence avec un choix malin. Un liner de piscine a une durée de vie moyenne d’environ 10 ans, mais en optant pour un modèle plus épais (75/100e plutôt que 50/100e), vous mettez toutes les chances de votre côté pour qu’il tienne au moins 15 ans. Et si vous voulez viser encore plus long, regardez du côté du liner armé. Lui, c’est un peu le Schwarzenegger des liners : increvable et toujours en forme.
L’eau, c’est bien. Une eau bien équilibrée, c’est mieux
Un liner de piscine adore l’eau. Mais pas n’importe laquelle. Un mauvais équilibre chimique, et c’est la catastrophe. Trop de chlore ? Il se fragilise et blanchit. Un pH mal ajusté ? Il devient cassant. Règle d’or : gardez un pH entre 7,2 et 7,6 et un taux de chlore raisonnable. Si vous avez des doutes, testez régulièrement l’eau. Ce n’est pas une option, c’est une question de survie.
La ligne d’eau : le cauchemar des liners
Si votre liner de piscine avait une bête noire, ce serait la ligne d’eau. Entre les crèmes solaires, les huiles bronzantes et les résidus de produits chimiques, c’est un véritable champ de bataille. Nettoyez-la régulièrement avec une éponge douce et un produit adapté. Pas de Javel, pas de détergent agressif. On parle de votre piscine, pas d’un carrelage de cuisine.
Les UV : l’ennemi silencieux
Le soleil, c’est bien pour votre bronzage, mais pas pour votre liner de piscine. Les UV attaquent le matériau et l’affaiblissent avec le temps. La solution ? Une bâche quand la piscine n’est pas utilisée.
Préservez votre liner de piscine en limitant les agressions
Votre liner, c’est un peu comme un tapis blanc : tout le monde veut marcher dessus, mais personne ne veut le voir s’user. Quelques règles simples :
Rincez-vous avant d’entrer dans l’eau (oui, même les enfants).
Évitez les objets pointus dans la piscine.
Dites non aux animaux dans l’eau (oui, même si votre chien adore nager).
Les signes qui ne trompent pas : quand changer son liner de piscine
Malgré tous ces conseils, votre liner ne durera pas éternellement. Voici les signaux d’alerte :
Décoloration intense.
Apparition de plis ou de fissures.
Perte d’élasticité.
Fuites suspectes (et pas juste parce que vos enfants éclaboussent).
Si vous repérez un ou plusieurs de ces problèmes, il est peut-être temps de passer à un nouveau liner. Et pourquoi pas un liner armé, histoire d’avoir la paix pour 20 ans ?
Conclusion
Votre liner de piscine peut vivre longtemps. Il suffit d’un peu d’attention, d’un entretien régulier et de quelques bonnes habitudes. Un peu comme une voiture, sauf que là, pas besoin de passer le contrôle technique. Alors, préservez votre piscine et évitez-vous des frais inutiles !
Protéger votre couverture, c’est prolonger sa vie. Et pour ça, rien ne vaut une bâche de protection été hiver : une toile costaude, pensée pour affronter le soleil comme les frimas, et taillée pour protéger ce qui protège déjà votre piscine.
Une couverture taillée pour durer
Avec ses 580 g/m², cette bâche joue dans la cour des grands. Résistante, souple, elle épouse l’enrouleur comme une seconde peau. Que ce soit en plein été ou en plein hiver, elle agit comme un bouclier contre les UV, les intempéries, la poussière, les salissures.
Autrement dit ? Elle préserve votre bâche à bulles de l’usure prématurée. Et évite bien des tracas à votre portefeuille.
Une bâche protection été hiver qui s’adapte à vos besoins
Pas de standard, ici. Juste du choix. Cinq longueurs : 3,60 m, 4,10 m, 5,10 m, 6,10 m… et même une version 8,20 m x 1,40 m pour les formats XXL.
Toutes font 1 mètre de large et sont livrées avec 4 sandows élastiques, pour un maintien parfait sur l’enrouleur. Une installation simple, rapide, sans prise de tête.
Côté look, la palette est généreuse : bleu, vert, vert amande, beige ou gris. Et quelle que soit la teinte, l’intérieur est toujours beige, pour limiter la chaleur et préserver la matière. Malin.
Pourquoi c’est un indispensable ?
Parce que même la meilleure bâche à bulles mérite sa garde-robe. Une bâche protection été hiver, c’est un peu le manteau d’hiver et la casquette d’été de votre couverture thermique.
L’été, elle empêche les UV de grignoter la matière. L’hiver, elle isole du gel et évite les craquelures. Elle sert aussi de housse de rangement pour bâche roulée : plus propre, plus net.
Bref, elle prolonge la durée de vie de votre bâche à bulles. Et vous, vous prolongez vos économies.
En résumé
Autrement dit, investir dans une bâche de protection été hiver, c’est faire un choix avisé. Celui de préserver sa bâche à bulles des agressions saisonnières, de prolonger sa durée de vie et d’éviter les remplacements prématurés. C’est aussi gagner en confort au quotidien : installation rapide, esthétique soignée, efficacité prouvée. Une petite couverture pour un grand service — toute l’année, elle fait barrière pendant que vous profitez.
Vous en rêvez depuis des années ? Nous aussi. Attachez vos ceintures (ou plutôt vos bâches), car l’étoile montante des piscines fait son entrée fracassante : l’enrouleur bâche à barres Padolo. Et croyez-nous, ce n’est pas un simple gadget de plus à ranger au fond du garage. Non, Padolo, c’est l’innovation qu’on attendait tous : enfin un enrouleur motorisé unique en son genre, pratique, rapide, et à faire rougir les voisins de jalousie.
Enfin un enrouleur bâche à barres Padolo digne de ce nom
Vous avez déjà essayé de manipuler une bâche à barres sans vous énerver ? Impossible, à moins d’être champion de bras de fer. Mais avec l’enrouleur bâche à barres Padolo, tout change. Une télécommande sans fil, un clic, et hop ! Votre bâche s’enroule en 40 secondes chrono. Fini les galères, bonjour la simplicité !
Et cerise sur le gâteau : il est compatible avec la plupart des bâches à barres jusqu’à 12 x 5 m. Plus besoin de jouer les équilibristes au bord de la piscine.
Padolo : l’allié de votre dos (et de votre patience)
Vous souvenez-vous de ces après-midis à tirer sur votre bâche comme un forcené, sous le soleil plombant, pendant que les enfants criaient “On peut y aller ?!” ? Grâce à l’enrouleur bâche à barres Padolo, ce cauchemar appartient au passé.
Ses roues Blickle SoftMotion silencieuses glissent sans marquer le sol et de plus, la bâche surélevée ne frotte plus contre les parois de votre piscine. En gros : vous protégez votre bâche, vous préservez votre dos, et vous gagnez du temps pour siroter un cocktail au bord de l’eau.
Un enrouleur motorisé qui en a sous le capot
Ne vous laissez pas berner par son design épuré : Padolo est en réalité une petite bête de compétition. Sa batterie se recharge en 2 heures et vous offre jusqu’’à 40 cycles d’utilisation. Oui, 40. De quoi passer toute la saison sans même y penser.
Et ce n’est pas tout : grâce à son système de deux modules placés aux extrémités de la bâche, il soulève la couverture pour éviter qu’elle ne tape les margelles. Un vrai ballet aquatique, sans fausses notes.
Pourquoi choisir l’enrouleur bâche à barres Padolo ?
Praticité : Une télécommande, un clic, et c’est enroulé.
Rapidité : 40 secondes pour une bâche de 8 x 4 m. Qui dit mieux ?
Protection : Plus de frottements, plus de galères.
Autonomie : Jusqu’à 40 cycles avec une seule charge.
Bref, l’enrouleur bâche à barres Padolo n’est pas juste un accessoire, c’est un game-changer. Le genre d’invention qui fait dire : “Mais pourquoi ils n’ont pas sorti ça avant ?”
Envie de dire adieu aux corvées de bâches et bonjour à la tranquillité ? Padolo est là pour révolutionner vos étés. Simple, efficace et ultra-pratique, il transforme chaque baignade en pur plaisir. Enfin une innovation qui fait du bien, et pas seulement à votre piscine !
Rien de tel qu’un oeillet bien posé pour garantir une fixation de bâche durable et sans accroc. Que ce soit pour tendre votre couverture d’été ou renforcer une bâche d’hivernage, l’installation de ces petits accessoires fait toute la différence.
Deux diamètres pour deux missions : à chacun son oeillet
Chez Baches-Piscines.com, la fixation d’un oeillet de bâche se décline en deux formats malins :
12 mm de diamètre intérieur, fourni automatiquement avec nos bâches à bulles non bordées. L’idée ? Vous laissez libre cours à vos découpes, puis clipsez les oeillets là où bon vous semble.
20 mm, destiné à nos bâches d’hiver. Plus large, plus costaud, il assure une tension optimale sur des toiles plus épaisses.
Les deux versions partagent un point commun : elles transforment la fixation d’une bâche en un jeu d’enfant.
Pose express : clipsez, c’est fixé
Pas besoin de pince, ni d’outillage spécifique. La fixation d’un oeillet de bâche se fait manuellement, grâce à un système de clips mâle-femelle ultra intuitif. Vous percez un petit trou, vous insérez chaque partie, vous pressez — et c’est réglé. Un clic sec, et la bâche est prête à affronter le vent, les tractions et les saisons.
Et pour un geste parfait du premier coup, notre vidéo tutorielvous accompagne pas à pas.
Une solution qui a tout pour plaire
Avec ce système de fixation par oeillet de bâche :
Adaptez facilement la tension selon les attaches de votre enrouleur.
Vous pouvez repositionner ou remplacer un oeillet en un clin d’oeil.
Réparez vous-même une zone fragilisée sans tout changer.
Bref, un petit accessoire… mais un grand soulagement au quotidien.
Astuce pro : espacez vos oeillets entre 50 et 60 cm
Pour une bâche à bulles bien tendue, pensez à espacer vos oeillets de façon régulière. L’idéal ? Un intervalle de 50 à 60 cm, réparti équitablement sur toute la largeur. Ce placement symétrique garantit une tension homogène lors de l’enroulement — et évite que la bâche ne tire d’un côté plus que de l’autre. Un geste simple, pour un enroulage fluide… et sans plis.
Il ne vous reste plus qu’à y insérer vos tendeurs, et le tour et joué.
Vous cherchez une fixation de bâche simple, propre, sans prise de tête ? Nos oeillets plastiques à clipser sont déjà en route. Pour un usage malin, une pose facile, et une bâche qui tient bon.
Louer sa maison équipée d’une piscine, c’est transformer l’eau bleue en or liquide. Car la location d’une maison avec piscine n’est pas qu’un simple coup de soleil dans les yeux des vacanciers : c’est un levier de rentabilité redoutable. À condition de savoir chiffrer son potentiel réel — et d’en maximiser chaque goutte.
Une maison avec piscine à louer : la demande ne se dément pas
Vacances d’été, week-ends prolongés, télétravail au vert… les occasions de vouloir s’évader dans une maison avec piscine se multiplient. Pour les plateformes de réservation, la location d’une maison dotée d’une piscine privée est désormais en tête de liste des filtres les plus cliqués.
Et ce n’est pas un hasard : ce type de bien coche toutes les cases. Confort, intimité, plaisir, sécurité pour les enfants, moments partagés… On ne loue pas juste un toit : on réserve une expérience. Résultat ? Les tarifs à la nuitée flambent — et la rentabilité grimpe au même rythme.
Jusqu’à +40 % sur le prix à la semaine
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Une maison proposée en location avec une piscine privée peut voir son tarif bondir de 30 à 40 % par rapport à une maison équivalente sans bassin. En haute saison, la différence devient abyssale.
Prenons un exemple :
Sans piscine, une villa de 120 m² dans le sud-ouest peut se louer 1 200 € la semaine.
Avec une piscine, ce même bien peut atteindre 1 700 €, voire plus selon les équipements (chauffage, sécurité, terrasse, etc.).
Et ce n’est pas tout. Le taux de réservation explose également. Car une maison avec piscine, ça se loue plus vite, plus longtemps, et souvent à un public prêt à payer pour un certain standing.
Rentabilité annuelle : quand l’eau devient un actif
Ce que rapporte une location saisonnière avec piscine dépend bien sûr de plusieurs facteurs :
La région : le littoral, la Provence, le Sud-Ouest ou les zones périurbaines proches de villes touristiques sont les plus rentables.
La durée d’exploitation : avec une piscine chauffée, on étend la saison de location de mai à septembre, parfois même jusqu’à octobre.
La qualité des équipements : sécurité enfant (barrière ou bâche à barres), système de traitement de l’eau, design extérieur… tout joue.
En combinant ces éléments, les revenus annuels peuvent facilement dépasser 20 000 à 30 000 €, pour une utilisation locative de 3 à 4 mois par an seulement. Et pour ceux qui optimisent les ponts et les week-ends hors saison, la barre des 40 000 € n’est pas un mirage.
Louer oui, mais pas n’importe comment
Attention : qui dit piscine, dit obligations. Pour que votre location de maison avec piscine privée soit légale et sécurisée, il faut respecter la réglementation en vigueur (notamment la norme de sécurité NF P90-306 à 308). Une bâche homologuée, une alarme ou une barrière sont incontournables — et très souvent exigés par les assureurs.
Côté entretien, un bon système de filtration, une bâche de protection adaptée (isotherme pour chauffer, opaque pour l’hiver), et un entretien régulier sont les clés d’une eau claire… et d’avis cinq étoiles.
En résumé
Louer une maison avec piscine, ce n’est pas juste céder les clés de son jardin d’été. C’est capitaliser sur un bien désirable, booster ses revenus passifs et répondre à une demande en plein boom. Bien entretenue, bien équipée, bien positionnée, votre location de maison avec piscine peut devenir votre meilleure alliée pour arrondir les fins de mois — voire financer les prochains travaux… ou les prochaines vacances.
Isoler efficacement une piscine enterrée, c’est lui offrir une double peau contre les caprices du sol et les assauts thermiques. Une décision maligne, aux bénéfices multiples. Car sous la surface de l’eau, c’est toute une science de la chaleur qui s’écrit – et mal la maîtriser, c’est laisser filer énergie, confort… et argent.
Isoler une piscine : pour quoi faire, vraiment ?
La réponse est simple : pour ne plus chauffer les nuages. Une piscine non isolée, c’est une passoire thermique. Le sol absorbe les calories de l’eau comme un buvard : résultat, la pompe à chaleur tourne, encore et encore. À l’inverse, isoler correctement les parois permet de stabiliser la température, de prolonger les baignades, et de soulager l’installation.
Au-delà du confort, il y a un vrai gain d’efficacité. En réduisant les pertes de chaleur, on baisse la consommation énergétique. Et qui dit moins d’énergie dit aussi moins d’impact environnemental. C’est une pierre deux coups : votre bassin devient à la fois plus vert et plus économique.
Première étape : les murs. Lors de la construction, on peut intégrer des panneaux isolants rigides, comme du polystyrène extrudé (XPS) ou du polyuréthane. Ils se posent à l’extérieur des parois, entre le béton et la terre, pour couper les échanges thermiques. Résultat : une barrière invisible mais redoutable contre les déperditions.
Vient ensuite le fond du bassin. Moins évident à traiter, il mérite pourtant autant d’attention. Là encore, des plaques isolantes, couplées à une dalle béton, permettent d’isoler durablement. Attention toutefois à respecter les contraintes mécaniques : on ne plaisante pas avec la structure d’un bassin.
Faut-il isoler même une piscine déjà existante ?
Bonne question. Si votre piscine est déjà construite, tout n’est pas perdu. Il est possible d’intervenir lors d’une rénovation ou d’un changement de liner. Des solutions d’isolation interne existent, comme des doublages isolants à poser sur les parois. Moins performantes qu’une isolation en règle dès la construction, elles permettent néanmoins de limiter les pertes.
Et n’oublions pas l’équipement qui fait toute la différence en surface : la couverture. Une bâche à bulles isothermique, en particulier, joue un rôle crucial. Elle limite l’évaporation, piège la chaleur, et complète efficacement une isolation par les parois. Autrement dit, une alliée de choix pour isoler votre piscine… jusqu’au dernier rayon.
Le mot de la fin : un investissement futé
Isoler convenablement une piscine, ce n’est pas seulement une dépense, c’est un pari gagnant. Moins de chauffage, plus de confort, une eau à température constante… et une installation qui dure. Bref, un choix qui fait sens, qui fait chiffres, et qui fait sourire – même quand le mercure baisse.
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