Quel type de piscine choisir : hors-sol, enterrée, semi-enterrée

Introduction : Quel type de piscine choisir ?

Vous rêvez de plonger dans votre propre piscine cet été ? Bonne nouvelle, c’est faisable ! Mais avant de sortir vos brassards et votre crème solaire, il faut passer par une étape clé : choisir le type de piscine. Hors-sol, enterrée ou semi-enterrée, chaque option a donc ses petits avantages et quelques inconvénients. Oui, même la piscine a ses caprices.

Pas de panique, on est là pour tout décortiquer. Que vous soyez à la recherche d’une piscine économique pour barboter ou d’un véritable bijou architectural pour épater vos amis, cet article vous aidera à faire le bon choix. Allez, plongeons directement dans le vif du sujet (sans éclaboussures, promis) !

La piscine hors-sol : simplicité et accessibilité

type de piscine bois

Avantages

  • Facile à installer : En effet, ne piscine hors-sol, c’est un peu comme un meuble Ikea : vous la montez en un rien de temps (sans la galère des vis en trop… normalement).
  • Pas cher : Avec des prix qui commencent à 100 €, c’est donc clairement le choix malin pour se rafraîchir sans casser sa tirelire.
  • Choix varié : Du gonflable pour les petits budgets au bois pour ceux qui veulent un peu plus de style et en passant par l’acier, il y a de tout.

Inconvénients

  • Moins sexy : On va être honnête, une piscine hors-sol, ça fait un peu “installée vite fait”. Pas vraiment le truc qui impressionnera vos voisins.
  • Fragile : Si vous optez pour un modèle gonflable, attention aux épines et aussi aux chats un peu trop curieux.
  • Petit format : Pas la peine de sortir vos lunettes de nage olympique, effectivement ce n’est pas là-dedans que vous ferez vos longueurs. Cela dit, le Free Swim est votre ami.

Fourchette de prix

Les piscines hors-sol sont parfaites pour les budgets serrés :

  • Modèles gonflables : À partir de 100 € (oui, c’est moins cher qu’un smartphone).
  • Structures en acier ou en bois : Jusqu’à 10 000 € pour les versions les plus élaborées.

La piscine enterrée : luxe et durabilité

piscine topaze enterrée

Avantages

  • Esthétique de rêve : Une piscine enterrée, c’est comme la robe de soirée de votre jardin. Elle s’intègre parfaitement et attire donc tous les regards.
  • Durée de vie XXL : Si bien entretenue, elle peut rester impeccable des décennies. Oui, c’est du solide.
  • Valeur ajoutée : En plus de vous rafraîchir, elle donne un sérieux coup de pouce à la valeur de votre maison.

Inconvénients

  • Travaux lourds : Préparez-vous à quelques semaines de chantier (et de bruit, désolé pour les voisins).
  • Coûteuse : Clairement, c’est un investissement à long terme. De surcroît, oubliez le petit budget.
  • Papiers à remplir : Entre permis de construire et démarches administratives, en effet, ce n’est pas la partie la plus fun.

Fourchette de prix

Prévoyez un budget conséquent :

  • Piscines en béton : De 20 000 € à 50 000 € (oui, c’est une belle somme, mais le luxe a un prix).
  • Piscines en coque polyester : À partir de 15 000 € (plus abordable, mais toujours un sacré billet).

La piscine semi-enterrée : le compromis parfait ?

type de piscine bois

Avantages

  • Idéale pour les terrains en pente : Si votre jardin ressemble plus à une montagne qu’à un terrain plat, c’est donc LA solution.
  • Esthétique : En effet, elle allie le charme d’une piscine enterrée et la praticité d’un modèle hors-sol. Un joli mélange.
  • Moins chère : Comparée à une piscine entièrement enterrée, elle reste plus abordable.

Inconvénients

  • Travaux nécessaires : Oui, il faudra quand même creuser un peu. On n’échappe pas au terrassement.
  • Budget intermédiaire : C’est moins cher qu’une piscine enterrée, mais ça reste un investissement.

Fourchette de prix

Une option qui reste raisonnable pour ce qu’elle offre :

  • Structures en bois ou acier : Entre 10 000 € et 20 000 €.
  • Modèles en béton : Jusqu’à 25 000 €.

Comment choisir le type de piscine idéal ?

Voici quelques pistes pour vous décider sans vous arracher les cheveux :

  • Votre terrain : Plat, en pente ou bizarrement agencé ? Ça joue beaucoup.
  • Votre budget : Soyez réaliste, car une piscine, ce n’est pas juste un trou d’eau.
  • Vos besoins : Détente, sport, esthétique… Donc à vous de voir ce qui compte le plus.
  • Les démarches : Attention aux réglementations locales, elles peuvent compliquer les choses.
  • L’entretien : Une piscine, c’est un peu comme un animal de compagnie. Ça demande du soin.

Conclusion

En résumé, chaque type de piscine a ses propres atouts et ses inconvénients. La hors-sol, c’est l’option économique et rapide. L’enterrée, c’est le choix du luxe et de la durabilité. Et la semi-enterrée ? Elle se positionne entre les deux, car idéale pour ceux qui veulent un bon compromis. Prenez donc le temps de réfléchir à vos priorités et plongez (littéralement) dans le projet qui vous convient le mieux !

FAQ

1. Quel type de piscine pour un petit budget ?
Les piscines hors-sol, sans hésitation. En effet, pour moins de 500 €, vous pouvez déjà faire trempette.
2. Faut-il un permis pour une piscine semi-enterrée ?
En général, oui. Renseignez-vous auprès de votre mairie pour éviter les mauvaises surprises.
3. Combien de temps pour une piscine enterrée ?
Comptez entre 2 et 6 semaines, selon le type et les imprévus.
4. Quel matériau pour une piscine durable ?
Le béton reste le roi de la durabilité, mais la coque polyester est une bonne alternative.
5. Peut-on chauffer une piscine hors-sol ?
Oui, avec un système de chauffage adapté comme une pompe à chaleur ou des panneaux solaires.

Maintenant que vous avez choisi votre type de piscine, accompagnez là également de son accessoire indispensable : sa bâche !

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Faut-il retirer la bâche tous les jours pour aérer l’eau de la piscine ?

Retirer la bâche pour aérer l’eau de la piscine, mythe ou réalité ? Voilà une question que beaucoup se posent en profitant du bleu azur de leur bassin. Le petit plongeon rafraîchissant est souvent accompagné de cette fameuse bâche qui protège votre eau des feuilles mortes et autres intrus flottants. Mais est-ce vraiment nécessaire de la retirer quotidiennement ? Spoiler : ça dépend. Mais restons dans le bain pour voir ça de plus près.

faut-il aérer eau piscine en retirant la bâche ?

La bâche : super-héros ou super-vilain ?

D’abord, remettons les choses dans leur contexte. La bâche n’est pas juste là pour faire joli. Elle réduit la déperdition de chaleur, évite que votre piscine ne se transforme en théière à ciel ouvert et limite l’évaporation de l’eau. En gros, elle vous épargne des factures salées et des heures à pêcher des feuilles. Mais (oui, il y a toujours un mais), elle peut aussi étouffer votre piscine.

Et puis, retirer régulièrement sa bâche de piscine, c’est pas si compliqué !

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Pourquoi aérer l’eau de la piscine est essentiel

Quand la bâche reste en place trop longtemps, l’eau peut commencer à tourner. Imaginez un sauna pour algues et autres joyeusetés microscopiques. La stagnation favorise l’humidité, les mauvaises odeurs et peut transformer votre bassin en bouillon de culture. Aérer l’eau de la piscine permet de renouveler l’air, d’évacuer les vapeurs chimiques (merci le chlore) et d’éviter que votre eau ne devienne verte avant même que vous ayez eu le temps de dire “plouf”.

Alors, on retire la bâche tous les jours ou pas ?

La réponse courte : oui, c’est conseillé. Retirer la bâche tous les jours pour aérer l’eau de la piscine, même pour une petite demi-heure, aide à maintenir une eau claire et saine. Surtout si votre piscine est souvent utilisée ou que la météo est au beau fixe.

Mais soyons honnêtes, personne n’a envie de jouer à l’haltérophile avec sa bâche tous les matins. Heureusement, il existe des bâches plus légères ou des enrouleurs pour faciliter la tâche. Sinon, à défaut de le faire tous les jours, essayez au moins d’aérer l’eau quand la piscine est utilisée ou quand il fait très chaud. Ou ciblez des bâches à bulles plus adaptées à un usage intensif, comme l’Energy Guard.

Bâche innovante : Energy guard geobubble

Le mot de la fin

En résumé, votre bâche est votre alliée, mais ne la laissez pas étouffer votre piscine. Pour aérer l’eau de la piscine, il suffit de trouver le bon équilibre entre protection et ventilation. Alors, on se mouille ?

La bâche de piscine peut-elle réellement limiter l’évaporation de l’eau ?

Spoiler alert : oui, une bâche de piscine limite l’évaporation. Mais restons un peu pour décortiquer tout ça, histoire de ne pas juste balancer des vérités comme des canonballs dans la piscine.

L’évaporation, cet ennemi invisible

évaporation sans bâche de piscine

Imaginez votre piscine en plein été, sous un soleil de plomb. L’eau qui s’échappe à petit feu, c’est pas juste de la magie, c’est l’évaporation. Chaque rayon de soleil tape sur l’eau, la chauffant jusqu’à ce que les molécules s’évadent dans l’air. Résultat ? Vous perdez des litres et des litres, pas très éco-friendly, ni très cool pour votre facture d’eau.

Et c’est pas tout ! Moins d’eau, c’est aussi des produits chimiques qui se font la malle en même temps, et un système de chauffage qui bosse double pour compenser. Bref, ça pique.

La bâche de piscine contre l’évaporation : la cape de super-héros de votre bassin

Alors, est-ce qu’une bâche de piscine peut limiter cette fameuse évaporation ? Clairement, oui. Mais pas n’importe quelle bâche.

  • Bâche à bulles : Elle est là pour faire plus que joli. Avec son look de papier bulle géant, elle peut réduire l’évaporation jusqu’à 90-98 %. Oui, vous avez bien lu.
  • Bâche à barres : Plus sécuritaire, elle fait aussi le job, tout en évitant aux bambins de plonger par accident.
  • Volets roulants : Le luxe, carrément. Automatique et efficace, ça limite l’évaporation et en plus, ça a de la gueule.

En gros, la bâche de piscine qui limite l’évaporation, c’est votre meilleur allié. Mais à une condition : qu’elle soit bien ajustée. Une bâche mal posée, c’est comme un parapluie troué : inutile.

Bonus : la bâche fait plus que sauver de l’eau

Limiter l’évaporation, c’est bien. Mais la bâche a plus d’un tour dans son sac :

  • Moins de perte de chaleur : L’eau reste chaude plus longtemps. Fini les frissons à la première brasse.
  • Moins de produits chimiques : En gardant l’eau propre, vous économisez sur les traitements.
  • Moins d’entretien : Moins de feuilles, moins de saletés, moins de galère.

épaisseurr bache a bulle

Championne toute catégorie, la couverture Geobubble Energy Guard. Découvrez là en vidéo :

Les limites : parce que tout n’est pas rose

Évidemment, ce n’est pas magique non plus. Il faut penser à couvrir votre piscine régulièrement, et ça peut avoir un coût à l’achat. Et si vous êtes du genre à oublier, il existe des films liquides comme HeatCover. Moins efficaces, mais plus simples à utiliser.

Alors, on plonge ou pas ?

En résumé : oui, la bâche de piscine pour limiter l’évaporation, c’est la solution idéale pour préserver votre eau, vos sous, et la planète. C’est un petit geste, mais un grand plongeon vers l’écologie et l’économie. Alors, vous attendez quoi pour couvrir votre bassin ?

Entretien de la piscine après une période d’absence prolongée

Votre piscine et une longue absence ne font pas toujours bon ménage. Pendant que vous profitiez de vos vacances, votre bassin, lui, a peut-être pris des allures de marécage tropical. Et spoiler : il n’a pas autant apprécié l’absence que vous. Alors, comment redonner à votre piscine son éclat après une absence prolongée ? Voici le guide ultime pour remettre votre piscine sur pied (sur flotte ?).

piscine absence prolongée

Piscine et absence : le grand retour commence par l’inspection visuelle

La première étape en revenant de vacances ? Ouvrir grand les yeux et faire une inspection visuelle de votre piscine. Si l’eau est plus verte que votre pelouse, vous savez que vous avez du pain sur la planche. Des algues se sont peut-être installées pendant votre absence, transformant votre bassin en marécage. Pas de panique ! On garde son calme et on observe :

  • La couleur de l’eau : transparente, trouble, verte, marron… Chaque teinte a son diagnostic.
  • Les débris : feuilles mortes, insectes, voire des trucs non identifiés (on ne juge pas).
  • Les équipements : le filtre fait-il encore son boulot ? La pompe ronronne-t-elle comme un chaton satisfait ou grogne-t-elle comme un vieux moteur ?

Test de l’eau : le retour à la réalité chimique

Après avoir fait le tour du propriétaire, il est temps de passer à l’épreuve scientifique : le test de l’eau. Parce que votre piscine n’a pas juste besoin d’un bon coup d’œil, elle a besoin de chiffres !

analyse eau piscine

  • pH : Il doit être entre 7,2 et 7,6. Si c’est trop acide ou trop basique, vous risquez de nager dans un bain de vinaigre ou de soude.
  • Chlore : Trop bas, et bonjour les algues. Trop haut, et vous sortirez de là avec une nouvelle teinte de cheveux.
  • Alcalinité et dureté : Pour que l’équilibre soit parfait.

Un kit d’analyse ou des bandelettes suffisent. Si les résultats sont catastrophiques, pas de panique, c’est réversible.

Nettoyage post-absence : retroussez vos manches !

Maintenant que vous savez à quoi vous avez affaire, place à l’action. Et oui, votre piscine ne va pas se nettoyer toute seule (sauf si vous avez investi dans un robot, mais on y reviendra).

nettoyage piscine après une longue absence

  1. Retirez les débris : À l’épuisette ou à la main (pour les plus courageux), virez tout ce qui flotte.
  2. Brossez les parois : Les algues adorent s’accrocher aux parois. Brossez-les avec amour (ou rage, selon l’état du bassin).
  3. Nettoyez les skimmers et filtres : Ils ont bossé dur pendant votre absence, un petit nettoyage leur fera du bien.
  4. Relancez la filtration : Laissez tourner au moins 24 heures non-stop pour que l’eau retrouve sa clarté.

Traitement choc : quand la piscine a besoin d’un électrochoc

Si l’eau est encore trouble ou colorée après le nettoyage, il est temps de sortir l’artillerie lourde : le traitement choc. Balancez du chlore choc pour éliminer les bactéries et les algues récalcitrantes. Attention, n’allez pas vous baigner tout de suite après… À moins que vous n’aimiez l’odeur de la piscine municipale un samedi après-midi.

Solutions automatisées : la piscine 2.0 pendant votre absence

Si l’idée de retrouver votre piscine dans cet état vous donne des sueurs froides, pensez aux solutions automatiques pour la prochaine fois :

  • Électrolyseurs au sel : Ils maintiennent le chlore à un niveau stable sans intervention humaine.
  • Distributeurs automatiques de produits chimiques : Parfaits pour éviter les mauvaises surprises.
  • Robots nettoyeurs : Parce que oui, même votre piscine peut avoir un aspirateur personnel.

robot nettoyage fond piscine

La prochaine fois, anticipez votre absence !

Parce que la meilleure façon d’éviter ce carnage, c’est de préparer votre piscine avant de partir :

  1. Faites un bon nettoyage avant de partir. Moins de saletés = moins de problèmes.
  2. Equilibrez les produits chimiques pour une eau stable.
  3. Couvrez votre piscine avec une bâche de qualité (c’est par ici).
  4. Confiez la surveillance à un voisin sympa ou un professionnel.

Avec ces astuces, votre piscine pourra elle aussi profiter de vos absences sans virer au drame. Et vous, vous pourrez rentrer de vacances en toute sérénité, sans avoir à affronter un bassin en mode apocalypse.


La piscine et l’absence prolongée ne font pas bon ménage, mais avec un peu de préparation et de savoir-faire, vous pouvez éviter le pire. Et qui sait, votre bassin pourrait même vous remercier… à sa manière !

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Quelle piscine pour les enfants en bas âge : conseils de sécurité et d’aménagement.

L’été arrive à grands pas, et avec lui cette question cruciale : quelle piscine pour des enfants en bas âge ? Parce qu’on ne veut pas finir avec un mélange de cris stridents, de glissades dignes d’une patinoire et d’adultes stressés comme des chats dans un bain. Alors, comment choisir la piscine idéale tout en assurant la sécurité de vos petits poissons ? Suivez le guide !

1. Quelle piscine pour des enfants en bas âge : le choix du matériel

Piscines gonflables : la pataugeoire 2.0

piscine gonflable pour enfants

Pour les tout-petits, rien ne vaut la bonne vieille piscine gonflable. Pas plus de 20 cm de profondeur, sinon ça devient un mini-océan pour vos bambins. Optez pour des modèles avec un revêtement antiglisse (oui, parce que les enfants et les flaques, c’est une histoire d’amour) et n’oubliez pas de changer l’eau régulièrement. On veut des enfants qui s’amusent, pas des microbes en free party.

Piscines hors-sol : la forteresse imprenable

Un peu plus sérieuses, les piscines hors-sol sont parfaites pour les enfants plus grands. Le bonus ? Leur hauteur limite l’accès non surveillé. Mais attention, ça ne dispense pas d’installer barrières et alarmes pour éviter les baignades clandestines.

Piscines enterrées : à vos risques et périls !

Si vous envisagez une piscine enterrée, préparez-vous à transformer votre jardin en Fort Knox. Barrières, alarmes, couvertures rigides… Le combo sécurité est obligatoire pour que les enfants profitent sans danger.

2. Sécurité avant tout : les indispensables

Barrières de sécurité : stop aux intrusions

Autour de la piscine, une barrière d’au moins 1,20 m de hauteur avec une porte à verrouillage sécurisé, c’est le b.a.-ba. Vos enfants ne sont pas des cascadeurs, alors autant leur éviter des tentatives d’escalade dangereuses.

Alarmes de piscine : le sifflet numérique

Ces petites merveilles technologiques alertent dès qu’un objet (ou un enfant…) tombe dans l’eau. Pratique pour éviter les frayeurs inutiles.

Couvertures rigides : la cape protectrice

Couverture piscine hors sol

Quand la piscine n’est pas utilisée, hop, on la couvre ! Non seulement ça empêche l’accès, mais en plus, ça garde l’eau propre. Deux coups d’épée dans un seul coup de filet !

Surveillance constante : les yeux grands ouverts

Aucune technologie ne remplacera jamais la vigilance d’un adulte. Les enfants doivent toujours être sous surveillance rapprochée. Pas de “je regarde mon téléphone deux secondes”, ça peut aller très vite.

3. Aménagement autour de la piscine : créer un espace sûr et fun

Zones d’ombre : à l’abri des coups de soleil

Un parasol, une pergola, ou même un arbre bien placé : protégez vos enfants des UV. Parce que le coup de soleil sur un nez de bambin, ça fait grimacer tout le monde.

Aire de jeux aquatiques : la piscine, mais en mieux

Pourquoi ne pas ajouter un toboggan ou des jets d’eau ? Veillez juste à ce qu’ils soient à bonne distance de la piscine pour éviter les ploufs non prévus.

Revêtements antiglisse : fini les gadins

Autour de la piscine, le sol doit être antiglisse. Parce qu’un enfant qui court, c’est un enfant qui tombe. Et un enfant qui tombe, c’est… une cascade de pleurs.

4. Initiation et éducation à la baignade : les premiers pas dans l’eau

piscine enfants

Cours de natation : les petits poissons à l’école

Dès que possible, inscrivez vos enfants à des cours de natation. Non seulement ils apprendront à nager, mais ils acquériront aussi les règles de base de la sécurité aquatique.

Enseigner les règles : pas de bain sans permission

Expliquez-leur qu’on ne court pas autour de la piscine et qu’on ne plonge pas sans autorisation. Oui, même si le grand cousin fait le malin.

5. Précautions spéciales pour les tout-petits

Bébés dans l’eau : toujours dans les bras

aller à la piscine avec enfant bas age

Un bébé dans l’eau doit toujours être dans les bras d’un adulte. Même avec des brassards, pas question de les laisser à la dérive.

Soleil : à éviter entre 11h et 16h

Pas de baignade aux heures les plus chaudes. Et n’oubliez pas la crème solaire SPF 50+, parce que la peau des petits, c’est fragile comme du papier de soie.


Voilà, maintenant vous savez quelle piscine pour des enfants est la plus adaptée. Avec ces conseils, vos petits pourront barboter en toute sécurité, et vous, siroter votre limonade l’esprit tranquille. Alors, à vos maillots, prêts, plongez !

Comment retirer facilement les dépôts et le sable du fond de votre piscine ?

L’été est là, le soleil tape, et votre piscine est censée être une invitation à la détente. Sauf que… catastrophe ! En plongeant, vos pieds s’enfoncent dans un tapis granuleux digne d’une plage à marée basse. Oui, le sable au fond de la piscine a encore frappé. D’où vient-il, comment s’en débarrasser ? Voici le guide ultime pour en venir à bout sans finir en nage (au mauvais sens du terme). comment-nettoyer-sable-fond-piscine

Pourquoi du sable au fond de la piscine ?

Le sable au fond de la piscine ne tombe pas du ciel… enfin, si, parfois. Il peut venir de plusieurs sources :

  • Le vent et la pluie : votre piscine se transforme en bac à sable naturel après une tempête.
  • Un filtre à sable en fin de vie : quand il commence à fuir, il envoie du sable directement dans le bassin.
  • Les baigneurs : après une journée à la plage, il en reste toujours un peu sous les pieds…

Le problème ? Si vous laissez faire, l’eau devient trouble, les algues s’invitent et donc votre bassin ressemble plus à une marre à têtards qu’à une oasis paradisiaque.

Comment éliminer le sable du fond de sa piscine ?

Pas de panique ! Voici les solutions pour retrouver une eau digne des plus belles cartes postales.

1. La bonne vieille méthode manuelle

  • Le balai aspirateur : l’arme fatale. Branchez-le sur le skimmer, optez pour le mode “égout” si possible (pour éviter de renvoyer les impuretés dans la piscine) et aspirez en douceur. Pas de mouvements brusques, sinon c’est reparti pour un tour.
  • Le brossage : indispensable pour décoller les saletés bien accrochées. Attention au revêtement : une brosse trop dure sur un liner, c’est le drame assuré.
  • L’épuisette de fond : pour les gros débris. Si votre sable fond piscine s’accompagne de feuilles et d’insectes, elle devient votre meilleure alliée.

épuisette de fond pour sable piscine

2. Les solutions automatiques

  • Le robot nettoyeur : si vous en avez un, c’est le moment de le sortir du garage ! Il fait le sale boulot à votre place, y compris dans les coins difficiles d’accès.
  • Les systèmes intégrés : si vous avez une piscine high-tech avec buses de nettoyage, activez-les pour envoyer les impuretés vers le filtre. C’est du luxe, mais ça fonctionne.

3. Les produits miracles

  • Le traitement choc : un bon coup de chlore ou de brome élimine les germes planqués dans le sable.
  • Le floculant : parfait pour agglomérer les particules fines et les aspirer plus facilement.

Prévenir plutôt que guérir

Alors le mieux, c’est encore d’éviter que le sable du fond de la piscine ne devienne un problème récurrent. Quelques règles d’or :

  • Nettoyage régulier : un petit coup d’aspirateur par semaine, et fini les mauvaises surprises.
  • Contrôle du filtre : si votre filtre à sable recrache des grains, c’est qu’il est temps de le vérifier (et peut-être de le changer).
  • Passage sous la douche obligatoire : histoire de ne pas importer une plage entière dans votre piscine.

douche piscine

Conclusion

Le sable au fond de la piscine, c’est un peu comme les moustiques en été : inévitable, mais gérable avec les bons gestes. Entre nettoyage manuel, robots performants et entretien malin, vous avez toutes les cartes en main pour garder une eau cristalline. Allez, à vos balais, et que la force du chlore soit avec vous !

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Quelles solutions pour éloigner les guêpes autour et dans votre piscine ?

L’été, les apéros au bord de l’eau, les plongeons rafraîchissants… les guêpes qui s’invitent à la piscine. Rien de tel qu’un bourdonnement bien strident pour ruiner votre zenitude. Pas de panique, voici un guide complet pour tenir ces squatteuses à distance de votre piscine.

comment éloigner les guêpes de ma piscine

Pourquoi les guêpes adorent-elles votre piscine ?

Première chose à savoir : les guêpes ne viennent pas juste pour vous embêter. Elles ont une mission. Elles cherchent de l’eau pour se rafraîchir et hydrater leur colonie. Malheureusement pour vous, votre piscine est un all-inclusive cinq étoiles dans le monde des insectes. Ajoutez à ça un petit cocktail de boissons sucrées, des restes de barbecue et des fleurs mellifères dans les parages, et vous obtenez un club Med pour guêpes.

Les solutions préventives : la guerre psychologique

Avant toute solution plus radicale, mieux vaut simplement éviter qu’elles viennent. Voici quelques astuces simples pour déclarer la guerre (douce) à ces envahisseurs :

1. Aménagez l’environnement

  • Plantes répulsives : Installez des géraniums, de la citronnelle ou de la menthe autour de votre piscine. Pas fan de jardinage ? Une jardinière bien placée suffit.
  • Nettoyez après les repas : Les restes de pizza et les verres de soda abandonnés, c’est une invitation VIP pour les guêpes.

2. Détournez leur attention

  • Abreuvoirs artificiels : Placez une coupelle d’eau sucrée à bonne distance de votre piscine. Oui, vous devenez le cafetier des guêpes, mais c’est pour la bonne cause.

coupelle pour attirer les guêpes

Les méthodes de répulsion : ça chauffe pour les guêpes

Quand elles s’entêtement à venir, passez à l’offensive. Voici quelques techniques pour leur faire comprendre que votre piscine, c’est no-go zone.

1. Produits répulsifs

  • Sprays anti-guêpes : Facile à trouver, pratique à utiliser. Un pschitt autour de la zone de baignade et adieu mesdames.
  • Pastilles répulsives pour skimmers : Double utilité, elles maintiennent aussi votre eau claire.

2. Solutions naturelles

  • Borax : Ce produit miracle chasse les guêpes en douceur. Diluez-le dans un peu d’eau et pulvérisez les bords de la piscine.
  • Vinaigre blanc : Mélangez du vinaigre blanc avec de l’eau et pulvérisez-le autour des zones stratégiques. Les guêpes détestent l’odeur et iront voir ailleurs.

3. Dispositifs physiques

comment fabriquer un pièce à guêpes

  • Pièges à guêpes : Fabriquez-en un avec une bouteille en plastique ou achetez-en tout prêt. Les guêpes adorent, mais elles ne ressortent pas.
  • Leurres de nids : Les guêpes évitent de s’installer près d’un autre nid. Un faux nid suspendu peut suffire à les dissuader.

Les solutions radicales : à utiliser avec parcimonie

Si le problème persiste, il faut parfois sortir l’artillerie lourde. Couvrir votre piscine avec une bâche est une excellente solution pour éviter les dégâts quand vous ne l’utilisez pas. Et si vous trouvez un nid proche, appelez un professionnel pour le retirer en toute sécurité.

Conclusion : paix retrouvée au bord de l’eau

détente retrouvée dans l'eau

Éloigner les guêpes de votre piscine n’est pas mission impossible. Avec un peu d’organisation et les bonnes techniques, vous pouvez dire adieu aux bzzzz stressants. Que ce soit en aménageant l’espace, en utilisant des produits répulsifs ou en installant des dispositifs simples, vous avez toutes les cartes en main pour profiter pleinement de vos baignades cet été. Et si jamais elles reviennent ? Vous savez quoi faire. Guêpes piscine, game over !

Piscine partagée : droits et devoirs en copropriété.

Imaginez un été caniculaire, des voisins en maillot, un plouf rafraîchissant dans une piscine scintillante… Non, vous n’êtes pas dans un rêve californien, mais bien en copropriété. Et avant de sortir les brassards et les cocktails sans alcool, il y a des règles à connaître (et à respecter).

Car la piscine en copropriété, c’est un peu comme un mariage : tout le monde doit être d’accord sur qui fait quoi, et surtout, qui paye quoi. Alors plongeons ensemble dans le grand bain des droits et devoirs des copropriétaires face à une piscine partagée.

jolie piscine en zone commune

Avant de plonger, l’administratif !

Le premier été de la piscine, c’est comme un film Disney : tout le monde est heureux, ça chante et ça sourit. Mais avant cela, il faut passer par un scénario moins glamour :

réunion copropriété

Les superbes réunions de copropriété.

L’accord de la copropriété : indispensable

Pas question de creuser un cratère pour y verser de l’eau sans l’aval du syndicat des copropriétaires. Une piscine collective demande un vote lors de l’assemblée générale. Attention, ici, on parle majorité absolue. Pas de bras levé, pas de piscine.

Permis ou pas permis ?

Selon la taille de votre futur bassin, il faudra passer par la case administration. Une piscine de plus de 10 m² ? Hop, permis de construire. Moins de 10 m² ? Une simple déclaration préalable suffira. Le tout, bien sûr, validé par votre syndicat. Bref, même pour être un dauphin, il faut des papiers.

Et le règlement de copropriété ?

Le fameux règlement de copropriété. Si la piscine vient bouleverser son contenu (ce qui arrive souvent), il devra être modifié. Et là, c’est un vote à la double majorité qui s’impose. Bref, un véritable plongeon dans la paperasse.

La sécurité, on ne plaisante pas avec ça

Vous savez ce qui est encore plus important qu’un bon plongeon ? Ne pas en faire à vos responsabilités. Parce qu’une piscine en copropriété, ça n’est pas juste un trou d’eau : c’est aussi des normes à respecter.

Barrières, alarmes et compagnie

barrière sécurité piscine copropriété

Une piscine commune doit être sécurisée. C’est la loi. Barrières, alarmes, couvertures… le syndicat des copropriétaires est responsable de l’installation de ces dispositifs. Et croyez-nous, mieux vaut investir dans une alarme que de finir dans les colonnes d’un journal pour une affaire d’accident.

A lire : Zoom sur les normes de sécurité : alarmes, barrières, bâches, abris. 

Des responsabilités claires

En cas d’accident (et touchons du bois, cela n’arrive pas), la responsabilité du syndicat peut être engagée. Il est donc crucial de préciser dans le règlement qui gère quoi. Car si tout le monde est responsable, personne ne l’est vraiment.

Les règles d’usage : pour éviter la pagaille

Avec une piscine en copropriété, il vaut mieux éviter de jouer à « chacun fait ce qui lui plaît ». Sinon, bonjour les embrouilles.

Horaires et comportements à respecter

Le syndicat doit définir des règles claires : horaires d’ouverture, nombre maximum de nageurs, comportements interdits (non, monsieur, le plongeon péniche n’est pas autorisé). Tout cela doit figurer noir sur blanc dans le règlement.

Les invités, bienvenue (ou pas)

Peut-on inviter son cousin, son pote ou son chien à profiter de la piscine ? Cela dépend des règles d’usage. En général, les personnes extérieures ne sont admises que sous certaines conditions.

Et le portefeuille, dans tout ça ?

Une piscine, ça coûte. Pas juste à l’installation, mais aussi à l’entretien. Et ces frais, devinez quoi ? Ils sont généralement partagés en tantièmes (encore eux !).

couts non prévus pour une piscine en copropriété

Charges et répartition

Entre l’eau, les produits chimiques, l’électricité et les réparations, la facture peut grimper vite. Ces coûts sont répartis entre les copropriétaires. Et attention, modifier cette répartition peut relever du parcours du combattant.

Prévenir les conflits

Enfin, qui dit argent dit… conflits. Pour éviter les querelles dignes d’une réalité TV, mieux vaut anticiper : prévoir un budget clair et en discuter en assemblée. Le syndic, à ce stade, devient un véritable chef d’orchestre.

Conflits : prévoir le maillot et le casque

La piscine, c’est fun, mais aussi source de tensions. Bruits, non-respect des règles, querelles sur les horaires… Autant de sujets qui peuvent transformer une belle idée en cauchemar. Heureusement, le syndic est là pour régler les litiges. Et avec une bonne dose de communication, tout peut rentrer dans l’ordre.

bouées piscine


En résumé, une piscine en copropriété, c’est un vrai bonheur… à condition de respecter certaines règles. Planification, sécurité, respect des voisins et gestion des coûts : tout est question d’équilibre. Alors, prêts à piquer une tête ? Avec un peu d’organisation, la piscine peut devenir un élément central de votre vie en copropriété. Et surtout, souvenez-vous : piscine en copropriété rime toujours avec responsabilité… et convivialité !

Qu’arrive-t-il à une piscine si elle n’est pas traitée avec du chlore ou du sel ?

Imaginez : un bel été, le soleil tape, les cigales chantent (ou les klaxons, selon votre localisation). Vous décidez de plonger dans votre piscine pour un moment de pure détente. Mais là, horreur : l’eau est verte, trouble et dégage une odeur digne d’un vieux marais. Pourquoi ? Parce que vous avez décidé de boycotter le traitement au chlore ou au sel. Et franchement, votre piscine ne vous remercie pas.

piscine sans traitement chlore ou sel = algues

Une eau sans traitement, c’est la porte ouverte à… tout ce que vous ne voulez pas

Ne pas traiter votre piscine au chlore ou au sel, c’est comme abandonner votre jardin à une armée de mauvaises herbes. Rapidement, votre bassin devient un terrain de jeu pour les algues. Ces petites bêtes adorent l’eau stagnante et non traitée. En quelques jours, votre eau passe du bleu cristallin à un vert douteux, le genre de teinte qui rappelle davantage un smoothie détox qu’un lieu de baignade.

Mais ce n’est pas tout. Les algues ne viennent jamais seules. Elles invitent des colonies de micro-organismes et de bactéries, certaines potentiellement dangereuses pour la santé. Vous aimez les champignons sur votre pizza ? Parfait, mais pas dans votre piscine. Ces micro-organismes pathogènes se multiplient à vitesse grand V, rendant chaque baignade risquée pour votre peau, vos yeux et même vos oreilles. Bonjour les infections cutanées, oculaires et autres petits plaisirs estivaux.

Une eau qui dégénère… et votre matériel avec

Vous pensiez que les problèmes s’arrêtaient à l’eau trouble et malodorante ? Que nenni ! Sans un traitement au chlore ou au sel, votre piscine devient un cauchemar pour votre système de filtration. Les débris, algues et matières organiques s’accumulent, bouchent les filtres et forcent vos équipements à travailler deux fois plus. Résultat : l’obstruction et la corrosion sont en embuscade, prêtes à transformer vos pompes et canalisations en vieilles ferrailles inutilisables.

Et ce n’est pas tout ! Le déséquilibre du pH, causé par l’absence de traitement, peut être un vrai casse-tête. Trop acide, il attaque les surfaces de votre piscine. Trop basique, il favorise les dépôts calcaires. Bref, c’est un peu comme jouer à la roulette russe avec votre bassin.

chloration choc pour une piscine couverte d'algues

Les coûts cachés du « no-chlore no-sel »

Vous pensiez faire des économies en évitant le chlore ou le sel ? Mauvaise nouvelle : les frais de remise en état risquent de vous donner un coup de chaud. Une fois votre piscine transformée en étang, il faudra un traitement de choc (et un portefeuille bien rempli) pour assainir l’eau. Parfois, vidanger le bassin et le nettoyer complètement est inévitable. Sans compter les équipements à réparer ou remplacer.

Des alternatives… mais avec des limites

Vous vous dites peut-être : « Et les traitements écologiques, alors ? » Oui, des options comme les systèmes UV ou à l’ozone existent. Mais soyons honnêtes : ces alternatives demandent souvent un investissement initial élevé et une maintenance rigoureuse. Et elles ne remplacent pas complètement les bienfaits d’un traitement au chlore ou au sel. Ces derniers restent les champions pour garder votre piscine propre et sécuritaire, tout en étant adaptés aux différents budgets.

Alors, chlore ou sel ?

produit-traitement-piscine

La question n’est pas « faut-il traiter sa piscine ? », mais bien « piscine chlore ou sel ? ». L’un comme l’autre préserve votre eau des envahisseurs microscopiques et vous évite les scénarios catastrophiques. En plus, ils garantissent des baignades sans risques sanitaires et un entretien plus simple de vos équipements. Bref, un choix gagnant-gagnant pour votre piscine et votre tranquillité d’esprit.

Conclusion : évitez le cauchemar aquatique

Ne pas traiter votre piscine, c’est comme partir en vacances sans fermer à clef : ça finit toujours mal. Alors, si vous voulez éviter de transformer votre oasis en jungle aquatique, investissez dans un traitement au chlore ou au sel, avec une petite bâche d’hiver pour couvrir le tout. Croyez-moi, votre piscine (et vos proches) vous diront merci.

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Piscine hors sol et hiver : 5 erreurs à éviter avant de poser la bâche

L’hiver approche, et vous avez une piscine hors sol ? Alors il est temps de penser à la mettre en hibernation. La « bâche hiver piscine hors sol » est votre meilleure alliée pour protéger votre bassin durant les mois froids. Mais attention, certaines erreurs peuvent compliquer l’hivernage. Voici 5 à éviter pour préparer votre piscine comme un pro.


1. Ne pas nettoyer l’eau avant de poser la bâche

piscine sans bache hiver

Vous ne voudriez quand même pas mettre votre bâche ici, si ?

Une erreur courante est de poser la bâche sur une eau sale. Feuilles, insectes ou débris flottants… Ces impuretés vont se décomposer et rendre l’eau trouble. Avant de couvrir votre piscine, prenez d’abord le temps de passer l’épuisette et de nettoyer le fond avec un aspirateur. Une eau propre est la clé d’un hivernage réussi.


2. Oublier de traiter l’eau

L’hivernage ne veut pas dire oublier le traitement de l’eau. Avant de poser la bâche, commencez par ajuster le pH (idéalement entre 7,0 et 7,4) et ajoutez aussi un produit d’hivernage. Ce traitement spécial prévient le développement des algues et des dépôts calcaires. Avec ces précautions, l’eau sera plus facile à réutiliser au printemps.


3. Sous-estimer l’importance d’une bâche adaptée

Couverture piscine hors sol

Tous les modèles de bâches ne conviennent pas aux piscines hors sol. Par exemple, une « bâche hiver piscine hors sol » doit être parfaitement adaptée à la taille et à la forme de votre bassin. Une bâche trop petite ou mal fixée risque par ailleurs de s’envoler au premier coup de vent. Privilégiez donc une bâche opaque pour limiter la lumière et éviter les algues.


4. Ne pas vider partiellement la piscine

Une piscine hors sol ne doit jamais être totalement vidée, même en hiver. En effet, cela pourrait déformer la structure ou l’abîmer. Par contre, pensez à baisser le niveau d’eau pour éviter qu’elle ne gèle dans les skimmers ou les canalisations. Suivez les recommandations du fabricant pour savoir jusqu’où débaisser le niveau.


5. Négliger la fixation de la bâche

Bache piscine hors sol fixation

Une bâche mal fixée ne protégera pas correctement votre piscine. Utilisez doncles tendeurs, les élastiques ou les fixations prévus à cet effet. En cas de vent fort, une fixation solide évitera que la bâche ne s’envole et laisse votre piscine exposée aux éléments.


En résumé :

Pour préparer correctement votre piscine hors sol à l’hiver, suivez ces étapes simples : nettoyez, traitez. Ensuite, ajustez le niveau d’eau et fixez une bâche adaptée. Ainsi, vous protégerez votre bassin et éviterez de mauvaises surprises au printemps.

Alors, prêts à installer votre « bâche hiver piscine hors sol » ? C’est le moment de passer à l’action !