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Toutes les ouvertures d’hivernage afin de protéger ss piscine enterrée ou hors sols. Toutes les solutions et les fixations disponibles pour chaque cas particulier. Des baches opaques hiver ou des couvertures filets, des produits piscine indispensable pour passer un hiver tranquille et en toute sécurité.
Quand l’hiver s’installe, une question brûle les lèvres de tout propriétaire de bassin : comment assurer un vrai anti gel piscine efficace ? Parce que le gel, sournois, ne pardonne pas. Il fissure les parois, gonfle les canalisations et transforme votre piscine en chantier. La bonne nouvelle : il existe des solutions simples, précises, testées.
Flotteurs d’hivernage : la diagonale gagnante
Première arme du kit anti gel piscine : les flotteurs d’hivernage. De simples bouées noires de 50 cm, lestées, qu’on relie entre elles. Posées en diagonale, elles absorbent la pression du gel et empêchent les parois du bassin de souffrir. Leur rôle est limpide : amortir la dilatation de la glace, comme un airbag silencieux.
👉 Combien en faut-il ?
Nombre de flotteurs d’hivernage selon la taille du bassin
Dimension de la piscine
Nombre de flotteurs nécessaires
7 x 3 m
16 flotteurs
8 x 4 m
20 flotteurs
10 x 5 m
24 flotteurs
12 x 6 m
28 flotteurs
Une ligne de défense invisible, mais implacable.
Gizzmo : le bouclier des skimmers
Deuxième héros discret du système anti gel piscine : le gizzmo. Une bouteille creuse qui se visse directement dans vos skimmers. Sa mission : absorber la dilatation du gel et protéger les canalisations de toute casse. Avec son double filetage 38/50 mm, il s’adapte à la majorité des modèles. Facile à poser, il se met en place en un geste. Vous fermez le couvercle, et vos skimmers respirent l’hiver sereinement.
Les étapes clés d’un hivernage réussi
Le meilleur anti gel piscine reste une stratégie complète. Voici les étapes essentielles pour un bassin blindé contre le froid :
Nettoyer à fond : feuilles, dépôts, parois. L’hiver ne pardonne pas la négligence.
Traiter l’eau : équilibre pH, désinfection, produit d’hivernage. Une eau saine résiste mieux.
Baisser le niveau d’eau sous les skimmers, pour éviter tout débordement gelé.
Protéger la structure : flotteurs en diagonale + gizzmo vissés = combo gagnant.
Mettre en sécurité : couper la filtration, purger les canalisations, isoler la pompe.
Couvrir le bassin avec une bâche d’hiver ou une bâche à barres. Double avantage : pas de saletés et une protection thermique.
Un rituel simple, mais redoutable d’efficacité.
Pourquoi c’est indispensable
Ne pas protéger sa piscine du gel, c’est jouer à pile ou face avec des fissures à plusieurs milliers d’euros. À l’inverse, investir dans quelques flotteurs et gizzmo, c’est garantir la longévité de son bassin. L’hiver devient une simple pause, et non une menace.
Quand les températures chutent, une piscine laissée à découvert devient vite un terrain de jeu pour les feuilles mortes, les poussières et les algues. L’eau s’assombrit, le bassin s’encrasse, et le printemps se transforme en séance de rattrapage fastidieuse. La bache hiver change complètement la donne. Elle couvre, protège et préserve votre eau, pour que la saison froide ne soit plus synonyme de corvée, mais de tranquillité.
Pourquoi investir dans une bache piscine hiver ?
Contrairement à ce que l’on imagine parfois, une couverture d’hivernage ne sert pas seulement à éviter que les feuilles tombent dans l’eau. Une bache hiver de piscine agit comme une barrière contre la lumière, limitant la photosynthèse et donc la prolifération des algues. Elle réduit l’usage de produits chimiques, épargne le système de filtration et vous garantit de retrouver une eau claire au printemps. C’est un peu comme mettre son bassin en hibernation : il dort proprement, et se réveille prêt à l’emploi.
Trois personnalités pour un même objectif
Il existe plusieurs manières d’affronter l’hiver, et chaque type de bache a son caractère. La version opaque est la plus radicale. Lourde et robuste, elle stoppe totalement la lumière et rend presque impossible le développement des algues. C’est la couverture de ceux qui veulent retrouver une eau impeccable sans effort de nettoyage au printemps, notamment si leur bassin est entouré d’arbres.
À l’opposé, la bache filet séduit par sa légèreté et sa maniabilité. Elle laisse passer l’eau de pluie tout en retenant les feuilles et les débris. Plus simple à installer et à retirer, elle plaît à ceux qui veulent de la praticité au quotidien. Elle se révèle aussi particulièrement utile pour les piscines déjà équipées d’un volet roulant, car elle évite que les feuilles se coincent entre les lames.
Enfin, il existe la bache de sécurité, conçue pour résister à une chute accidentelle et conforme à la norme NF P90-308. Elle protège non seulement l’eau mais aussi les personnes, en particulier les jeunes enfants. Plus exigeante à installer avec ses fixations renforcées, elle offre en retour une tranquillité incomparable. C’est le choix évident pour les familles et les résidences secondaires.
Tous ses modèles de bâche existent à la fois pour les piscines enterrées et les bassins hors sol.
Les détails qui font la différence
Une bache efficace ne se mesure pas seulement à son matériau, mais aussi à ses finitions. Les modèles sont conçus avec un débordement de 30 à 40 cm, ce qui garantit une couverture totale du bassin. Certains intègrent une grille centrale ou des trous d’évacuation pour éviter les poches d’eau en surface. Les fixations varient selon le support : pitons en béton, crochets pour le bois ou encore systèmes adaptés aux piscines hors-sol. Pour les grands bassins, des sangles de soutien deviennent essentielles, car elles maintiennent la bache bien tendue et prolongent sa durée de vie.
Les compagnons indispensables à la bache hiver
La bache piscine hiver est d’autant plus performante qu’elle s’accompagne des bons accessoires. Un sac de rangement permet de la stocker propre et protégée des UV lorsqu’elle n’est pas utilisée. Les flotteurs d’hivernage absorbent la pression de la glace et protègent les parois du bassin. Les produits d’hivernage, eux, réduisent la prolifération des algues et facilitent la remise en service au printemps. Quant aux sangles de soutien, elles garantissent la stabilité des grandes toiles et évitent tout affaissement. Ce sont des compléments discrets mais précieux, qui transforment une bache en investissement durable.
Une question de style, mais surtout de besoin
Le choix de la bache idéale dépend moins du bassin que de vos priorités. Celui qui veut une eau cristalline sans effort s’orientera naturellement vers une bache opaque. Celui qui préfère la légèreté et la facilité de manipulation trouvera son bonheur avec la version filet. Enfin, celui qui cherche avant tout à protéger ses proches adoptera la sécuritaire, norme à l’appui. Dans tous les cas, installer une bache piscine pour l’hiver, c’est s’assurer que l’hiver n’est plus un adversaire, mais une simple pause avant la belle saison.
Quand les températures chutent, il n’y a pas que les feuilles qui tombent : la motivation pour entretenir sa piscine aussi. C’est là qu’intervient la bâche hiver piscine. Plus qu’un simple accessoire, elle est l’alliée de ceux qui veulent retrouver une eau propre et claire au printemps sans bataille chimique interminable.
Pourquoi choisir une bâche hiver piscine ?
La bâche d’hiver de piscine agit comme une véritable barrière protectrice. Fabriquée en PVC sur-mesure à la forme exacte de votre bassin (enterré ou hors-sol), elle couvre l’eau pendant toute la saison froide.
Son rôle ? Bloquer la lumière, empêcher les feuilles et impuretés de tomber dans l’eau, limiter la photosynthèse et donc… réduire la prolifération des algues. Résultat : moins de saletés, une eau claire, et une remise en route au printemps simplifiée. Le bonus ? Moins de produits chimiques nécessaires.
En clair : c’est l’assurance de retrouver son bassin comme on l’avait laissé. Ou presque.
La bâche d’hiver opaque est la reine de la tranquillité. En toile PVC 580 g/m², elle agit comme un rempart opaque contre l’hiver : plus de lumière, plus de photosynthèse, donc quasiment plus d’algues. Son efficacité est redoutable, surtout pour les piscines exposées aux arbres ou aux vents chargés de feuilles et de poussières.
Son secret ? Une grille centrale d’évacuation des eaux pluviales (protégée en sous-face). Elle évite la formation de poches d’eau en surface et maintient la bâche bien tendue. L’eau de pluie s’écoule naturellement, mais les impuretés restent dehors. Pour les bassins hors-sol, cette grille peut être remplacée par de simples trous d’évacuation.
Côté confort, il faut reconnaître que son poids et sa densité en font une bâche un peu plus exigeante à manipuler. D’où l’importance des sangles de soutien dès que l’on dépasse 9 × 4,5 m. Mais en échange, vous gagnez un vrai atout : une eau claire et saine au printemps, prête à plonger après un simple ajustement chimique.
Dimensions max : enterré 7 × 15 m, hors-sol 5 × 10 m.
En résumé : la solution la plus radicale pour qui veut une remise en service express, sans batailler contre les algues ni écumer des feuilles pendant des heures.
2. La bâche filet : maniabilité avant tout
Plus légère, plus facile à manipuler, la bâche filet d’hiver laisse passer l’eau de pluie mais arrête feuilles et impuretés. C’est la solution idéale si vous recherchez la praticité au quotidien. Elle se pose et se retire sans effort, et reste adaptée aux grandes piscines grâce aux sangles de soutien.
Son atout caché ? Elle est particulièrement pertinente si votre bassin est équipé d’un volet roulant. Pourquoi ? Parce qu’elle empêche les feuilles de se glisser entre les lames du volet. Résultat : pas de dépôts coincés dans le mécanisme, pas de mauvaises surprises au moment de l’ouvrir. Et comme le volet assure déjà l’opacité du bassin, vous combinez le meilleur des deux mondes : protection mécanique et couverture facile à vivre.
Dimensions max : identiques à l’opaque, soit enterré 7 × 15 m, hors-sol 5 × 10 m.
En résumé : une solution légère, maniable, et maline si vous avez déjà un volet.
👉 Pour aller encore plus loin, il existe même une bâche spéciale conçue pour protéger les volets roulants de piscine. Adaptée sur-mesure, elle permet de préserver les lames et de prolonger leur durée de vie, tout en gardant un bassin propre et protégé. Son principal atout ? Elle se fixe directement sur les lames du volet, et ne nécessite donc aucun perçage de la terrasse !
3. La bâche de sécurité : la norme qui rassure
La bâche hiver piscine de sécurité ne joue pas seulement la carte de la propreté : elle sauve aussi des vies. Conçue pour résister à une chute accidentelle et empêcher l’accès du bassin aux enfants de moins de 5 ans, elle est certifiée NF P90-308 et testée par le LNE (Laboratoire National de métrologie et d’Essais). Autrement dit : elle répond à la norme la plus stricte en matière de protection des piscines.
Elle reprend les caractéristiques d’une bâche opaque classique (opacité, protection contre les impuretés, limitation des algues), mais avec des contraintes spécifiques liées à la sécurité :
pas de découpe possible pour laisser passer une échelle,
fixations exclusivement via sandows 2 embouts,
pitons obligatoirement ancrés dans du dur (béton, carrelage, bois). Exit donc les sardines plantées dans le gazon.
L’installation demande un peu plus de rigueur, mais le résultat est à la hauteur : une piscine protégée, sécurisée, et conforme à la réglementation. Elle est particulièrement recommandée pour les familles, mais aussi pour les résidences secondaires où la vigilance permanente est plus compliquée.
Dimensions max : enterré 6 × 13 m, hors-sol 5 × 10 m.
En résumé : la seule bâche qui combine propreté, opacité et sécurité anti-chute. C’est un investissement qui rassure autant qu’il protège.
Détails techniques : débordement et fixations
Toutes les bâches sont conçues avec un débordement périphérique pour une couverture parfaite :
+30 cm par rapport aux dimensions intérieures,
+40 cm si la piscine dépasse 70 m².
Pour les bâches de sécurité pour piscines hors-sol, il faut préciser la largeur des margelles (min. 20 cm). La bâche comprend en plus une retombée de 10 à 20 cm sur le pourtour.
Côté fixations, plusieurs options : sandows, pitons adaptés au support (béton, carrelage, bois), ou crochets de muret pour les bassins hors-sol.
Accessoires utiles pour prolonger la durée de vie
Deux indispensables :
les sangles de soutien pour les grands bassins,
le sac de rangement pour stocker la bâche au propre et à l’abri des UV.
Ces détails font toute la différence entre une bâche qui dure deux saisons et une autre qui vous accompagne de longues années.
Bâche hiver piscine : comment choisir la vôtre ?
Vous voulez une eau impeccable et claire dès le printemps → bâche opaque.
Vous privilégiez la facilité de manipulation → bâche filet.
Pour une eau claire, la sécurité des enfants et la conformité → bâche de sécurité.
Quelle que soit la version, une chose est sûre : installer une bâche hiver piscine, c’est investir dans la tranquillité.
Conclusion : l’hiver n’est plus une menace
Sans bâche, l’hiver s’invite dans votre bassin : feuilles mortes, algues rebelles, eau trouble. Avec une bâche hiver de piscine, l’équation change. Moins d’entretien, moins de produits, et une piscine qui traverse l’hiver sans encombre.
L’installation est simple, les bénéfices sont immédiats. Alors, pourquoi hésiter ? Cet hiver, laissez votre bâche faire le travail.
Quand l’automne pointe son nez, les feuilles mortes deviennent l’ennemi numéro un des piscines. La solution ? La bâche piscine filet feuille, une couverture légère mais redoutablement efficace pour garder votre eau claire et votre bassin propre tout l’hiver. Ni gadget, ni option : c’est l’arme anti-encrassement que tout propriétaire de piscine devrait avoir dans son arsenal.
Pourquoi choisir un filet feuille piscine pour l’hivernage ?
La bâche filet piscine n’est pas une simple toile tendue au-dessus de l’eau. C’est un véritable bouclier contre les feuilles, les brindilles et autres débris qui, sinon, viendraient stagner et pourrir dans le bassin. Résultat : moins de saletés au fond, moins d’entretien, et une remise en route printanière bien plus simple. Un détail qui change tout : contrairement à une bâche pleine, le filet laisse passer l’eau de pluie. Fini les poches d’eau stagnante qui déforment la couverture. Un petit plus qui devient vite un grand confort.
Bâche d’hiver filet pour piscines enterrées et hors-sol
Sur baches-piscines.com, deux modèles phares répondent à tous les besoins :
Dans les deux cas, le filet feuille de piscine assure une protection efficace, tout en restant maniable. Pas besoin de bras supplémentaires pour la poser ou la retirer.
Le filet feuille piscine, allié des volets roulants
Et pour les piscines équipées d’un volet roulant ? Là aussi, la solution existe : la bâche spéciale pour volet de piscine. Elle agit comme une seconde peau protectrice, empêchant les feuilles et les salissures de s’accumuler entre les lames du volet. Résultat : un mécanisme qui dure plus longtemps et une eau qui reste limpide. Un filet feuille piscine pensé sur-mesure pour ce type de couverture.
Les avantages concrets du filet anti-feuille
Moins de nettoyage : le vent peut bien souffler, les feuilles restent en surface.
Une eau plus saine : pas de décomposition organique qui trouble le bassin.
Un hivernage serein : on couvre, on tend, on oublie.
Une remise en route simplifiée : au printemps, fini les heures d’épuisette et de produits chimiques.
En clair, le filet feuille de piscine transforme l’hivernage d’une corvée en formalité.
Sur baches-piscines.com, chaque filet est fabriqué sur mesure. Pas d’à-peu-près : le filet s’adapte parfaitement aux dimensions de votre bassin, qu’il soit enterré, hors-sol, ou équipé d’un volet roulant. Et parce qu’il est conçu en matériaux résistants, il traverse plusieurs saisons sans faiblir. Un investissement malin, qui se rentabilise dès la première remise en eau.
Conclusion : le filet feuille piscine, simplicité et efficacité
Si vous en avez assez des feuilles qui envahissent votre bassin, inutile de chercher plus loin. Le filet feuille pour piscine, qu’il se présente sous forme de bâche d’hiver pour piscine enterrée, hors-sol ou adaptée à un volet roulant, est la solution la plus simple et la plus efficace pour un hivernage serein. Un geste, et votre piscine respire mieux tout l’hiver.
Il y a deux manières de couvrir sa piscine. L’à-peu-près, qui donne une bâche qui flotte ou qui frotte. Et la méthode juste, qui assure un ajustement parfait, sans stress ni mauvaise surprise. Devinez laquelle on vous recommande ? Voici comment mesurer sa piscine, une fois pour toutes, et commander des bâches sur-mesure qui tombent pile — pour cet été, cet hiver, et les saisons à venir.
🧭 L’intention est simple : un plan précis, pour toutes vos bâches
Inutile de recommencer à chaque fois. Chez Baches-Piscines.com, vous fournissez une seule chose : les dimensions intérieures de votre bassin. Ce sont ces cotes-là, et uniquement celles-là, qui servent de base à la fabrication — qu’il s’agisse d’une bâche à bulles, d’une bâche d’hivernage ou d’une bâche à barres.
Nous, on s’occupe des marges de recouvrement selon le modèle choisi :
Un angle adouci, ça ne s’improvise pas. Pour que votre bâche épouse parfaitement les courbes de votre bassin, il faut relever un élément clé : le rayon de l’angle arrondi.
Prenez deux bâtons ou règles rigides. Prolongez la longueur et la largeur du bassin jusqu’à leur point d’intersection à angle droit, comme s’il n’y avait pas d’arrondi. Ensuite, mesurez la distance entre ce coin théorique et le début de la courbe réelle : c’est la cote T. Cette cote correspond au rayon r de l’arrondi.
💡 Astuce pro : si T = 20 cm, alors r = 20 cm. Simple et efficace.
Attention aux limites de fabrication :
Rayon minimum pour une bâche à bulles : 15 cm
Rayon minimum pour une bâche d’hiver : 35 cm
Plus petit ? Ce n’est pas forcément utile de le spécifier. Gardez un angle droit, ou saisissez le plus petit rayon réalisable.
🌀 Piscines libres, haricot, forme organique ? On triangule
Le secret, c’est de diviser la surface en petits triangles mesurables.
Voici comment procéder :
Définir 2 points fixes “A” et “B”. Cette droite doit au moins mesurer 2 m et être à minima distante de 1 m du bassin.
Faire des repères espacés d’environ 50 cm sur toute la périphérie du bassin en les numérotant 1, 2, 3, etc.
Mesurer à partir du point “A” la distance en ligne droite avec tous les points repérés par un nombre (A1, A2, A3, etc).
Faire de même avec le point “B” (B1, B2, B3).
Saisir toutes vos mesures dans un tableur dédié, que notre service client vous fournira.
Vous verrez votre piscine se dessiner sur le tableur à chaque mesure que vous ajouterez ; un point vous semble louche ? Vous pouvez le rectifier en direct !
📸 Astuce : prenez une photo de vue d’ensemble de la piscine. Notre bureau d’étude l’utilisera pour comparer leur plan à vos visuels.
🚫 Ce qu’il faut éviter à tout prix
Mesurer les margelles au lieu du plan d’eau. Trop grande, la bâche frotte ou plie. Trop petite, elle ne couvre pas.
Modifier les dimensions selon le type de bâche. Non. Toujours les dimensions intérieures. Le débord, c’est notre affaire.
Arrondir les mesures “à peu près”. Une différence de 2 cm peut fausser le jeu de tension.
Oublier les escaliers ou découpes. Une marche manquée, et la bâche flotte ou tire.
Copier les dimensions d’une vieille bâche. Elle a vécu, elle s’est dilatée, elle ne fait plus foi.
💡 Pourquoi ce plan vaut de l’or
Parce qu’il est universel. Une fois en main, il vous permet de commander toutes vos bâches à venir, sans rien refaire. ➡️ Aujourd’hui une bâche à bulles, ➡️ Demain une bâche à barres pour l’hiver.
… et la remplaçante de cette bâche à bulles, dans de nombreuses années !
Et surtout : vous êtes certain que votre couverture est adaptée à la réalité du terrain, pas à un standard approximatif.
🎯 En résumé : une seule méthode, tous les bénéfices
Vous gagnez du temps : un seul relevé, des commandes simplifiées.
Pas d’erreurs : pas de mesure de margelle, pas de débord à calculer.
Vous optimisez vos achats : une seule base pour plusieurs bâches.
Garantisse la bonne tenue de la bâche : tension, fixation, sécurité.
Mesurer sa piscine, c’est poser les fondations d’une protection efficace, durable et bien pensée. Avec rigueur, mais sans complexité. Et toujours avec l’assurance que votre bâche est taillée pour durer — centimètre après centimètre.
Vous mesurez. On fabrique. Ensemble, on couvre juste.
Bonne nouvelle : oui, on peut fixer une bâche sans percer. Et mieux encore, on peut le faire solidement. Que vous ayez peur d’abîmer votre terrasse flambant neuve ou que vous refusiez d’ajouter des trous à une margelle déjà bien sollicitée, des solutions existent. Mais attention : toutes les bâches ne jouent pas dans la même cour. On fait le point, sans tourner autour du pot.
Les bâches à bulles d’été : zéro perçage, zéro souci
Pour une bâche à bulles, la question de comment fixer bâche sans percer ne se pose presque pas. Ces couvertures légères ne se tendent pas, ne se hissent pas : elles se posent simplement à la surface de l’eau, bulles vers le bas, face lisse visible.
Pas d’ancrage. Pas d’angoisse. L’enrouleur fait tout le boulot : il permet d’enrouler et de dérouler la bâche sans l’user, et surtout sans abîmer ni votre bassin ni ses abords. Pour une utilisation optimale, on répartit bien les sandows en fonction des œillets pour un enroulement homogène.
Et si vous cherchez une bâche à bulles qui tienne bon même en fin de saison ? La New Energy Guard, c’est l’incontournable. Une bâche Geobubble noire de 500 microns, pensée pour un hivernage actif : elle bloque les UV, limite la photosynthèse, et donc la prolifération des algues — tout en conservant la chaleur du bassin. Ce n’est pas une bâche d’hivernage sécuritaire, mais elle peut partiellement en tenir le rôle si vous continuez de filtrer l’eau. Par contre, côté débris, elle ne fera pas parfaitement le ménage. On ne peut pas tout avoir.
Fixation ? Toujours rien à percer. Juste un bon enrouleur et une bâchette de protection pour prolonger sa durée de vie. Pas plus compliqué que ça.
En hiver, fixer sans percer devient un vrai défi
Mais dès que le thermomètre dégringole, les bâches changent de ton. Elles deviennent plus épaisses, plus sécurisantes… et plus exigeantes côté fixation. Heureusement, des alternatives intelligentes au perçage existent.
Bâche d’hivernage classique : la pince Jocca pour reprendre les anciens points de fixation
Vous avez déjà percé. Les pitons sont en place, bien ancrés dans votre terrasse, et hors de question de la transformer en gruyère. Ce que vous cherchez, c’est une solution pour fixer une bâche sans percer à nouveau, en réutilisant vos ancrages existants. La réponse tient en deux mots : pince Jocca.
Cette finition ingénieuse repose sur un jonc soudé tout autour de la bâche. Pas d’œillets figés tous les X centimètres : vous clipsez les pinces Jocca là où vous en avez besoin, puis vous les faites coulisser jusqu’à vos pitons déjà en place. Vous adaptez la bâche à votre terrasse — pas l’inverse.
Ce système est idéal pour renouveler une bâche d’hivernage sans bricoler davantage. Il offre une tension maîtrisée, une fixation propre, et surtout une flexibilité totale. Votre terrasse vous dit merci.
Bâches à barres : la sécurité avant tout, même si ça perce
Et pour les bâches à barres ? Ici, pas de raccourci possible. Ce sont des couvertures de sécurité normées NF P90-308. Elles doivent être solidement ancrées au sol pour garantir leur rôle de protection.
Vouloir fixer une bâche sans percer dans ce cas, c’est comme vouloir visser sans tournevis. Mieux vaut accepter de percer à nouveau, quitte à reboucher les anciens trous si l’entraxe a changé. Car une bâche à barres mal fixée, c’est une sécurité illusoire. Et là, on ne joue plus avec l’esthétique : on parle de protection des enfants et des animaux.
L’avantage c’est que contrairement aux bâches d’hiver classiques, il ne faut pas prévoir de fixation sur toute la périphérie de la bâche mais uniquement sur les largeurs.
Autres solutions pour éviter les trous
Quelques alternatives méritent une mention spéciale. Attention, elles ne sont bien entendu pas compatibles avec une bâche de sécurité :
Les lests d’eau ou sacs de sable : utiles pour les bâches souples, mais à manier avec précaution.
Les margelles lourdes ou débordantes : parfois, on peut coincer une bâche dessous, à condition qu’elle reste bien tendue.
Les attaches amovibles ou sur rails : plus rares, mais idéales en construction neuve.
En résumé : fixer sans percer, oui… mais pas pour tout
Bâche à bulles ? Aucun souci, pas de perçage nécessaire.
Bâche d’hivernage ? Les pinces Jocca avec un jonc soudé font des merveilles.
Bâche à barres ? On perce.
👉 Le mot-clé, c’est l’adaptation. À chaque bâche sa méthode. À chaque utilisateur, son niveau d’exigence. Et si vous voulez dormir tranquille cet hiver, commencez par choisir la bonne solution de fixation — avec ou sans perceuse.
Entretenir une bâche de piscine, ce n’est pas un caprice de maniaque : c’est un réflexe de bon sens. Un geste simple qui vous évite d’enchaîner les remplacements et de plomber votre budget. Que votre couverture soit d’été ou d’hiver, chaque type a ses exigences.
Bâche d’été : le rituel gagnant pour une bâche à bulles qui dure
La bâche à bulles, c’est votre meilleure alliée pour conserver la chaleur du bassin. Mais à condition de lui offrir un minimum de soins. Voici le guide express pour chouchouter votre couverture isothermique.
Les bulles en bas, la face lisse en haut. Ça peut sembler évident… et pourtant. Mal positionnée, la bâche s’abîme plus vite, chauffe mal et se déforme. Pour éviter les erreurs de manipulation, misez sur un enrouleur. Il garantit un enroulement net, sans pli ni traction abusive. Un must.
Nettoyage régulier : l’arrosage, pas le décapage
Rincez votre bâche à l’eau claire. Pas de produits chimiques, pas de karcher. Juste un jet d’eau et une brosse douce si nécessaire. Insistez sur les zones de soudures où les impuretés aiment se nicher. Un nettoyage doux mais fréquent prolonge de plusieurs saisons la durée de vie de votre bâche.
Stockage : sec, à l’ombre, et jamais pliée en vrac
Hors d’eau, votre bâche à bulles doit impérativement être protégée du soleil. Utilisez la bâchette fournie. Laissez-la sécher complètement avant de la ranger, et bannissez le stockage au sol, surtout en plein cagnard. UV + humidité = bâche HS en deux étés.
Eau du bassin : l’alchimie à surveiller
Une eau mal équilibrée flingue une bâche en moins de deux. Taux de chlore, pH, brome : respectez les plages conseillées. Et surtout, en cas de traitement choc, retirez la couverture pour 48h. Oui, même si ça vous embête. Le chlore ne fait pas dans la dentelle.
Bâche d’hiver : robustesse rime avec vigilance
Qu’il s’agisse d’une bâche d’hivernage souple ou d’une bâche à barres plus costaude, l’objectif reste le même : entretenir votre bâche de piscine pour passer l’hiver sans casse. Voici les bons réflexes à adopter.
Avant même de parler nettoyage, adaptez l’entretien à votre stratégie d’hivernage. Actif (eau en circulation), la bâche sera plus exposée. Passif (eau stagnante, niveau baissé), elle repose davantage — mais nécessite tout de même des vérifications régulières.
Nettoyage avant et après saison
Avant l’installation, un rinçage rapide suffit. En fin de saison, un nettoyage complet s’impose : brosse souple, eau claire, séchage à plat. Les bâches à barres en particulier peuvent accumuler saletés et dépôts acides. Prenez le temps, votre bâche vous le rendra.
Fixations et tension : pas trop, juste bien
Des pitons qui tiennent, des sandows bien répartis, une tension équilibrée : c’est la base pour éviter les frottements et les déchirures. N’attendez pas qu’un coin se soulève au premier coup de vent pour agir. Vérifiez régulièrement l’état des fixations.
Stockage d’été : ne l’oubliez pas !
Une fois l’été revenu, la bâche d’hiver mérite elle aussi une pause au frais. Séchez-la soigneusement, roulez-la proprement et rangez-la à l’abri.
En résumé sur le thème “entretenir bâche piscine”
Entretenir sa bâche de piscine, c’est simple, mais ça ne s’improvise pas. Un peu de soin, quelques gestes bien placés, et vous doublez facilement sa durée de vie. Ce n’est pas seulement un gain économique : c’est aussi un geste durable. Alors, à vos jets d’eau et vos enrouleurs, et que votre bâche traverse les saisons avec panache.
L’été touche à sa fin, les bouées flamant rose sont remisées au placard, et votre piscine commence à ressembler à un aquarium abandonné. Forcément, vous vous posez la question fatidique : dois-je vider ma piscine avant l’hiver ? Certains disent oui, d’autres non, et au milieu, vous, perdu comme un nageur sans brassards. Spoiler alert : tout dépend de la situation ! Alors, avant de sortir le tuyau d’arrosage comme un cow-boy dégaine son Colt, voyons ensemble les bonnes et mauvaises raisons de vider sa piscine.
Pourquoi voudrait-on vider sa piscine ?
Certains ont la gâchette facile : dès que le mercure passe sous les 15°C, ils dégainent le tuyau et tirent la chasse d’eau géante. Mauvaise idée. Pourtant, il y a des cas où vider la piscine est nécessaire :
L’eau est irrécupérable : un cocktail chimique explosif, une invasion d’algues rebelles ou un dépôt de tartre plus coriace qu’un chewing-gum sur un trottoir.
Travaux à prévoir : fissures à réparer, liner à remplacer ou transformation du bassin en jacuzzi de luxe.
Mais dans la majorité des cas, il vaut mieux éviter la vidange totale. Pourquoi ? Parce que la nature a horreur du vide… et votre piscine aussi !
Les dangers d’une piscine vide
Vider la piscine, c’est prendre un risque monumental. Si votre bassin est enterré, il dépend notamment de la pression de l’eau pour ne pas se transformer en barque échouée. Sans cette contre-pression, les forces souterraines peuvent faire remonter la structure comme un bouchon de champagne. Ça fait rire, sauf quand c’est votre piscine qui flotte.
Autre problème : le gel. En effet l’hiver, l’eau qui reste agit comme un coussin thermique. Si vous videz tout, les parois vont souffrir comme un joueur de foot sans protège-tibias. Résultat ? Fissures et dégâts qui vont vous coûter une blinde.
Enfin, remplir à nouveau la piscine n’est ni économique, ni écologique. En fonction de la taille du bassin, c’est plusieurs mètres cubes d’eau qui disparaissent dans la nature. Pas sûr que votre facture d’eau et votre conscience verte s’en remettent.
Quand et comment vider (partiellement) sa piscine ?
Alors, que faire ? Laisser l’eau verdir façon mare aux grenouilles ? Pas du tout !
Pour une piscine enterrée
Hivernage passif : abaisser le niveau sous les skimmers, ajouter des produits antigel et couvrir avec une bonne bâche.
Nettoyage en profondeur : au lieu de tout vider, utilisez un robot de piscine qui aspire tout ce qui traîne au fond.
Pour une piscine hors sol
Ici, la vidange peut être inévitable, notamment si :
Vous démontez la piscine pour l’hiver.
Le bassin doit être déplacé.
Il n’y a aucun système de filtration (coucou les piscines gonflables de supermarché).
Mais attention :
Vidangez intelligemment : utilisez la technique du siphon ou une pompe submersible.
Respectez les règles locales : l’eau chlorée ne doit pas être jetée n’importe où.
Protégez le liner : stockez-le à l’abri du soleil pour éviter qu’il devienne aussi cassant qu’un vieux biscuit.
En résumé
Vider sa piscine sans raison valable, c’est comme mettre du ketchup sur une entrecôte : ça ne sert à rien et ça gâche tout. Avant de dégainer le tuyau, posez-vous la question : est-ce vraiment nécessaire ? Dans 90 % des cas, la réponse est non. Une bonne préparation à l’hivernage, un entretien sérieux et quelques ajustements suffisent largement à passer l’hiver sans transformer votre piscine en friche aquatique.
Bref, gardez l’eau, protégez votre bassin, et attendez sagement le retour des beaux jours pour piquer une tête !
Comment stocker votre bâche de piscine en fin de saison ?
Que ce soit après l’été ou à l’approche des beaux jours, il est essentiel de bien ranger votre bâche de piscine. Une bâche mal stockée, c’est l’assurance de retrouver moisissures, déchirures et mauvaises surprises en début de saison. Alors, comment bien stocker votre bâche de piscine ? On vous dit tout, et promis, c’est plus simple que de nager le papillon.
Stocker une bâche d’hivernage : préparation militaire
La bâche d’hivernage, c’est le tank de la protection de piscine. Elle est lourde, robuste et prête à encaisser les pires tempêtes. Mais avant de la remiser, quelques étapes indispensables :
Nettoyage en profondeur : Pas de quartier pour les algues et les débris ! Un bon rinçage à l’eau claire, une brosse douce et un peu de savon feront des miracles. Objectif : zéro résidu chimique.
Séchage impératif : L’humidité, c’est l’ennemi. Laissez votre bâche au soleil jusqu’à ce qu’elle soit aussi sèche qu’un discours administratif.
Rangement stratégique : Pliez-la en accordéon (oui, telle qu’elle était dans son carton lorsque l’on vous l’a envoyée), puis stockez-la dans un sac en PVC.
Emplacement sûr : Un endroit sec, à l’abri des rongeurs et de l’humidité. Adieu cave humide, bonjour garage ou grenier ventilé.
Si vous respectez ces étapes, votre bâche d’hivernage sera opérationnelle pour le prochain tour de chauffe.
Stocker une bâche à barres : précision et méthode
Les bâches à barres, c’est un peu les ceintures de sécurité des piscines. Pratiques, elles protègent tout en évitant la galère de l’hivernage total. Mais au moment de les ranger, mieux vaut suivre ces conseils :
Démontage intelligent : Utilisez la manivelle d’enroulement pour l’enrouler proprement.
Positionnement malin : Le rouleau doit être placé en bout de bassin, de préférence côté opposé aux escaliers. La première barre (la plus longue) doit rester du côté du stockage pour éviter tout déséquilibre.
Protection efficace : Si elle reste dehors, recouvrez-la avec une bâche de protection ou un film. Sinon, stockez-la dans un local sec.
Avec ces astuces, votre bâche à barres passera l’hiver sans accroc et sera prête à reprendre du service dès les beaux jours.
Stocker une bâche à bulles : fragile, mais pas foutue
La bâche à bulles, c’est la plus sensible du lot. Un faux mouvement, et c’est le drame : bulles éclatées, matériau fragilisé… Bref, il faut la traiter avec amour.
Nettoyage express : Un bon rinçage pour éliminer le chlore et les produits chimiques, puis un séchage à l’air libre. Si elle reste humide, bonjour les moisissures.
Enroulage précis : Utilisez un enrouleur spécifique pour éviter de plier les bulles. Les entasser, c’est les condamner.
Protection anti-UV : Si elle reste dehors, couvrez-la avec une housse opaque. Sinon, direction un local sec et frais.
Conditions de stockage optimales : Pas d’humidité, pas de rongeurs, pas de contact direct avec le soleil.
Avec ces précautions, votre bâche à bulles pourra prolonger son espérance de vie et vous éviter d’en racheter une chaque année.
Conclusion : un bon stockage, c’est une saison sereine
Stocker votre bâche de piscine correctement, c’est comme bien ranger votre matos de ski en fin de saison : un poil fastidieux sur le moment, mais vous vous remercierez l’année prochaine. En appliquant ces conseils, vous éviterez les mauvaises surprises et prolongerez la durée de vie de votre équipement.
Et si jamais vous avez la flemme, rappelez-vous : une bâche mal stockée, c’est un beau billet qui part à la poubelle l’année suivante. Autant bien faire les choses, non ?
Votre piscine et une longue absence ne font pas toujours bon ménage. Pendant que vous profitiez de vos vacances, votre bassin, lui, a peut-être pris des allures de marécage tropical. Et spoiler : il n’a pas autant apprécié l’absence que vous. Alors, comment redonner à votre piscine son éclat après une absence prolongée ? Voici le guide ultime pour remettre votre piscine sur pied (sur flotte ?).
Piscine et absence : le grand retour commence par l’inspection visuelle
La première étape en revenant de vacances ? Ouvrir grand les yeux et faire une inspection visuelle de votre piscine. Si l’eau est plus verte que votre pelouse, vous savez que vous avez du pain sur la planche. Des algues se sont peut-être installées pendant votre absence, transformant votre bassin en marécage. Pas de panique ! On garde son calme et on observe :
La couleur de l’eau : transparente, trouble, verte, marron… Chaque teinte a son diagnostic.
Les débris : feuilles mortes, insectes, voire des trucs non identifiés (on ne juge pas).
Les équipements : le filtre fait-il encore son boulot ? La pompe ronronne-t-elle comme un chaton satisfait ou grogne-t-elle comme un vieux moteur ?
Test de l’eau : le retour à la réalité chimique
Après avoir fait le tour du propriétaire, il est temps de passer à l’épreuve scientifique : le test de l’eau. Parce que votre piscine n’a pas juste besoin d’un bon coup d’œil, elle a besoin de chiffres !
pH : Il doit être entre 7,2 et 7,6. Si c’est trop acide ou trop basique, vous risquez de nager dans un bain de vinaigre ou de soude.
Chlore : Trop bas, et bonjour les algues. Trop haut, et vous sortirez de là avec une nouvelle teinte de cheveux.
Alcalinité et dureté : Pour que l’équilibre soit parfait.
Maintenant que vous savez à quoi vous avez affaire, place à l’action. Et oui, votre piscine ne va pas se nettoyer toute seule (sauf si vous avez investi dans un robot, mais on y reviendra).
Retirez les débris : À l’épuisette ou à la main (pour les plus courageux), virez tout ce qui flotte.
Brossez les parois : Les algues adorent s’accrocher aux parois. Brossez-les avec amour (ou rage, selon l’état du bassin).
Nettoyez les skimmers et filtres : Ils ont bossé dur pendant votre absence, un petit nettoyage leur fera du bien.
Relancez la filtration : Laissez tourner au moins 24 heures non-stop pour que l’eau retrouve sa clarté.
Traitement choc : quand la piscine a besoin d’un électrochoc
Si l’eau est encore trouble ou colorée après le nettoyage, il est temps de sortir l’artillerie lourde : le traitement choc. Balancez du chlore choc pour éliminer les bactéries et les algues récalcitrantes. Attention, n’allez pas vous baigner tout de suite après… À moins que vous n’aimiez l’odeur de la piscine municipale un samedi après-midi.
Solutions automatisées : la piscine 2.0 pendant votre absence
Si l’idée de retrouver votre piscine dans cet état vous donne des sueurs froides, pensez aux solutions automatiques pour la prochaine fois :
Électrolyseurs au sel : Ils maintiennent le chlore à un niveau stable sans intervention humaine.
Distributeurs automatiques de produits chimiques : Parfaits pour éviter les mauvaises surprises.
Robots nettoyeurs : Parce que oui, même votre piscine peut avoir un aspirateur personnel.
La prochaine fois, anticipez votre absence !
Parce que la meilleure façon d’éviter ce carnage, c’est de préparer votre piscine avant de partir :
Faites un bon nettoyage avant de partir. Moins de saletés = moins de problèmes.
Equilibrez les produits chimiques pour une eau stable.
Couvrez votre piscine avec une bâche de qualité (c’est par ici).
Confiez la surveillance à un voisin sympa ou un professionnel.
Avec ces astuces, votre piscine pourra elle aussi profiter de vos absences sans virer au drame. Et vous, vous pourrez rentrer de vacances en toute sérénité, sans avoir à affronter un bassin en mode apocalypse.
La piscine et l’absence prolongée ne font pas bon ménage, mais avec un peu de préparation et de savoir-faire, vous pouvez éviter le pire. Et qui sait, votre bassin pourrait même vous remercier… à sa manière !